L'état providence et l'hypertrophie qui le caractérise est en ligne de mire. La surtaxation des citoyens, la part trop importante de fonctionnaires improductifs entravent son fonctionnement , il n'est que de comparer avec les états prospères pour s'en convaincre.
Ainsi l'émirat de Dubaï ne doit sa réussite qu'à 3% au pétrole, le reste vient du commerce, des infrastructures et du tourisme. La clé du succés tient en la modestie des taxes et de l'impôt qu'agilise une pratique commerciale ouverte sur l'extérieur.
A l'inverse le Vénézuela et le Nigéria disposent des plus importantes ressources pétrolières de leur continent, pourtant ils naviguent dans l'instabilité politique au bord de la misère. L'un est de cuture chrétienne, l'autre de culture musulmanne de manière prépondérante mais rien n'y fait, leur pratique commerciale est entravée par une corruption endémique liée à la faiblesse d'une administration sans cap ni principes établis. A l'inverse le libéralisme des pétromonarchies du golfe devient une référence: pas de TVA, peu d'impôt et du commerce international à profusion.
Aux objections invoquant la richesse régionale comme facteur de réussite, on peut opposer l'exemple de Taiwan qui réunit beaucoup des mêmes ingrédients dans un contexte dépourvu de ressources pétrolières.
Que faut-il de plus aux socialistes, persistant à voir ce pays comme une extension de l'Union Soviétique?
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