jeudi 12 juillet 2012

Grand Discours De Rajoy

Rajoy a mis l'assemblée espagnole au pied du mur en lui présentant un pays en banqueroute qui ne pourrait payer ni ses fonctionnaires ni ses chômeurs sans les prêts à taux préférentiel accordés par l'UE en échange de réformes drastiques.

Alléguant un déficit accru hérité de la précédente administration, il a justifié les coupes sombres affectant les ménages par l'absence d'alternatives de rationalisation des dépenses publiques, ce que contestent certains analystes.

Le gouvernement Espagnol a perdu toute marge de manoeuvre, les taux du marchés étant désormais inabordables. En échange de taux moins élevés, il appliquera les recommandations européennes équivalentes à un régime amaigrissant dont on espère que le patient ne sucombera pas.

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