Les pays les plus titrés du sport le plus populaire du monde sont à écrasante majorité catholique, Brésil, Italie, Uruguay , Argentine suivis par l'Allemagne protestante et catholique.
Au fur et à mesure que le continent européen se métisse par l'apport de cultes étrangers, les différents tournois mettent en évidence l'infériorité sur le terrain des équipes à moindre homogénéité catholique.
C'est criant dans le cas de l'équipe de France, maculée de musulmans et d'animistes indéfinis, mais aussi de l'Angleterre privée de plus du liant catholique.
L'Allemagne désormais affublée de turcs et d'animistes africains chute devant une équipe moins teintée qui fut jadis à sa portée.
L'Italie parvenant encore à surpasser des équipes moins homogénes s'écroule comme jamais devant une équipe qui ne l'est point.
Ce n'est pas non plus une question d'homogénéité éthnique européenne, sinon les bosno-herzégoviniens et albanais se hisseraient aux premières places et ne resteraient pas à la dernière dans le concert européen.
La race a peu à voir tant elle reste mystérieuse conformément à la doctrine catholique, pas plus que le métissage éthnique si hideux soit-il pour quiconque peut témoigner du métissage sino-africain.
Ce qui compte statistiquement pour les dieux du stade, du moins sur un terrain de balle-au-pied, c'est l'homogénéité catholique, ce qu'a vaillament prouvé encore une fois la glorieuse équipe d'Espagne face à l'équipe italienne culturellement métissée d'un animiste non identifié à un poste déterminant.
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