mercredi 12 septembre 2012

Indignation Sélective

Des voix s'élèvent contre l'Eloge Littéraire de Breivik par Richard Millet, la palme revient certainement à la qualification de "pamphlet fasciste".

Les motifs de Breivik

Les protestations font peu de cas des quatorzes agressions subies par Breivik à Oslo selon ses dires par des immigrés musulmans certains accompagnés de norvégiennes. Ni de ses récriminitations interminables à l'égard des effets de l'immigration massive de musulmans qui certainement recouperaient celles de certains protestataires.

Un faible d'Esprit

Breivik semble une de ces personnes fragiles psychologiquement que la plongée brusque et prolongée en milieu musulman hostile a finit de destabiliser, comme tout non-musulman en état de faiblesse le serait dans ces conditions: veuve, orphelin, infirme, vieillard, minorité religieuse, jeune, femme. Qu'un européen s'installe en pays musulman pour comprendre. La vulnérabilité mentale de Breivik couplée à sa vigueur physique et intellectuelle l'ont conduit à commettre l'irréparable.

Guerre soi-disante sainte millénaire

Mais s'il est le seul coupable de son acte de terreur, il faut accuser aussi les musulmans qui l'ont terrorisé dans son propre pays et les concitoyens politiciens qui ont ouvert la portes aux masses des adeptes d'un culte énnemi mortel. Donc toute condamnation de Breivik devrait s'accompagner de celle des provocateurs, si l'on souhaite ne pas faire abstraction du contexte polémique.

Vendetta Nordique

Si l'attentat de Breivik se place dans la perspective de quatorze siècles de guerre soi-disant sainte que mênent indéniablement les musulmans contre le reste de l'humanité, ce n'est rien d'autre qu'un acte de guerre supplémentaire aussi horrible que les inombrables attentats musulmans, un acte qui présente la particularité de viser les personnes les plus chères de ceux vus comme les traîtres de ce conflit, une sorte de vendetta nordique.

Il est ainsi trop facile d'en limiter la responsabilité à un faible d'esprit comme Breivik, c'est le principe de son éloge littéraire par Richard Millet.

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