Saluant le coup médiatique de Génération Identitaire en défense de la culture française, Renaud Camus s'est fendu d'un discours s'aventurant là oú reculent les technocrates de l'état-providence.
En effet les industriels de la communication peignent un société féérique pour courtiser une classe politique jouant l'autisme plutôt que reconnaître son échec. Dans l'impasse les élus préfèrent le sur-place, incapables de rebrousser chemin.
Apparament seul un lettré composant de la poésie s'avère capable de dire son fait au tandem politicien et industriel qui fait échouer le navire.
Pour le mener à destination rameurs et marins s'avèrent indispensables, Camus avertit qu'engager des pirates berbères comporte le risque de mutinerie et de chavirer.
Camus n´accuse pas ici l'état-providence comme cité de dieu pour technocrates et cité maudite pour le commun des mortels, il observe le remplacement de la population française par des peuples diu tiers-monde et la naissance d'une nouvelle idéologie dite anti-raciste fondée sur la culpabilisation-victimisation pour des crimes de guerres contestés du conflit de 1939-1945. Ces phénoménes jouent le rôle de fin et moyen de la cause de l'immigration, elle même aspirée par les besoins illimités de l'état-providence servant les intérêts politiciens et industriels pour fermer la boucle.
Pour balancer le rejet d'une implantation non sollicitée de la société islamique en France, Camus reconnait à l'islam la paternité de merveilles de la culture que beaucoup cherchent en vain, sans percevoir que si c'était le cas cette religion ne serait pas si unanimement condamnée.
Que les Français renoncent à leur état-providence tout comme les autres pays malades de leur immigration et les dommages collatéraux disparaitront, nul besoin de se lancer dans la guerre sainte ou raciale serait-on tenté de conclure après ce discours.
jeudi 8 novembre 2012
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