Si DSK avait laché le gros billet auquel qui aurait contenté Nafissatou Diallo la prostituée africaine maquée avec un petit trafiquant de drogue qui offrit ses services au patron du FMI, il aurait économisé une somme rondelette en frais de procès mais il a préféré s'offrir d'esquiver les aléas du tribunal.
Ce faisant il récompense le crime, tellement le traquenard semble évident. Sa désinvolture confirme son recours à la prostitution comme client indirect, un peu comme fumer un pétard en prétendant ne pas avaler la fumée. L'avarice lui a fait perdre le sens des réalités en sous-estimant la malice d'une femme de ménage immigrée africaine et les chausse-trappes de la ville de New-York, le bucher des vanités.
Tout cela n'est rien à coté de ce qu'on lui reproche vraiment: la politique de déclassement conduisant son pays à la ruine, avant de s'occuper à recouvrir les créances de l'OCDE.
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