L'incendie du local où devait avoir lieu originellement une réunion de nationalistes de diverses tendances a tout l'air d'un attentat terroriste politique contre des cibles qui ne sont pourtant pas suspectées de recourir à la militance violente. Sur elles cependant convergent les inimitiés gauchistes, religieuses prosélytes non chrétiennes et anti-racistes quand ce n'est pas celle des partis politiques. Ce qui fut il y a peu une majorité des consciences devient par moment le souffre-douleur de tout ce qui s'arroge l'héritage de la révolution de 1789 ou s'engouffre dans son sillage.
Il existerait donc un bras armé clandestin suffisament engagé pour s'adonner à de telles extrémités et qui peut se structurer par l'entremise d'une association financée sur fonds publics comme il y en a tant, alors que leur cible n'en bénéficie pas.
Or depuis la fin d'Action Directe on ne connait d'attentats terroristes politiques, il est vrai d'envergure limitée, que de la part de groupuscules sionistes. Du moins quand on ne considère pas les attentats terroristes islamiques comme politiques sinon prosélytes.
Les nationalistes font bien de se proclamer victimes dans ce combat inégal afin d'en alerter les compatriotes de coeur.
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