mardi 14 avril 2020

Coronavirus: la preuve par la diète

La communauté hygiéniste, rien d'autre que des adeptes de médecine préventive, constate depuis longtemps l'immunité aux infections pratiquement sans faille conférée par une diète crudi-végétale.

Nous avons des exemples de familles crudi-végétaliennes contaminées comprenant des personnes agées de 95 ans à peine incomodées.

Ainsi les crudi-végétaliens semblent bien échapper aux infections grippales. Des médecins hygiénistes décrivent cette immunité analogue à un problème de mécanique des fluides lié à leur viscosité. Ainsi une infection résulte d'une production de déchets cellulaires, issus d'une attaque microbienne, plus importante que leur élimination par le système lymphatique aboutissant aux reins.

En d'autres termes le système lymphatique réagit aux attaques microbiennes inévitables en acheminant les déchets vers la sortie à travers les émonctoires à condition que le système lymphatique reste fluide. et que l'emonctoire singulièrement les reins ne souffre pas de congestion or cette fluidité dépend étroitement de la diète observée.

Aini l'alimentation animale ruine les reins à petit feu par son acidité, les laitages, les aliments cuits  induisent une réaction de production de mucus et comgestionnent le système lymphatique . Quand un nouveau coronavirus envahit un organisme congestionné, l'élimination s'avère insuffisante donc l'infection se déclare.

Que se soit Ebola, HIV, le nouveau coronavirus ou la tuberculose, le mécanisme d'infection reste rigoureusement le même, tout comme l'issue en infection pulmonaire. La différence réside partiellement dans le mode d'accrochage du virus à la cellule malade dont dépend la viralité. Le nouveau coronavirus réplique les piques de glycoprotéînes saillantes chez la cellule majade pout mieux s'y accrocher.

La durée de vie des cellules varie selon leur type, ainsi cette vie apparait bien plus courte dans l'intestin que dans le cerveau. Avant de mourir la cellule se signale au système lymphatique en déployant des piques de glycoprotéïnes à l'attention des cellules tueuses afin qu'elles en débarrassent l'organisme à travers les émonctoires comme les reins.

Encore faut-il que le système lymphatique soit fluide, aucun mucus ne doit entraver le passage des leucocytes, de surcroit l'émonctoire doit remplir sa fonction d'évacuation des déchets.

Pour guérir les symptômes de l'infection il y a lieu de rétablir les fonctions du système lymphatique et des reins.

D'où le recours à la diète crudi-végétale pour décongestionner le système lymphatique  et le jeûne pour réparer les reins endommagés depuis sa vertu régénérative.

Cette pandémie s'avère alors l'occasion révèe de répandre la diète crudi-végétale dans le grand public, comme mode d'alimentation optimal du point de vue sanitaire et écologique car il préserve la faune donc la flore et le système écologique.  L'élevage reste la première cause de déforestation, de diminution de biodiversité,  d'émission de gaz à effet de serre et de désertification couplée à l'extinction des prédateurs.

Il s'agit tout simplement de rétro-action à la surconsommation d'alimentation animale. Avec les médecins-rentiers de la Sécurité Sociale qui affligent l'économie et la santé publique le peuple meurt d'une grippe, si les agriculteurs étaient des rentiers nous mourrions de faim comme l'indiquent voir les hstoires de l'URSS,  la Chine, Cuba qui libéralisèrent l'agriculture vivrièrent sous la pression du peuple.




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