L'imposture des énergies vertes

Les énergies renouvelables éoliennes et photovoltaïques s'avèrent des impostures énergétiques, des désastres écologiques et des gouffres financiers dans la mesure où elles ne peuvent se passer des énergies fossiles, de ressources minérales pour leur construction et maintenance à un coût prohibitif subventionné par l'état sur le dos des autres énergies.

La biomasse reste le meilleur fertilisant pour l'agro-écologie, l'agro-foresterie, la permaculture cependant elle constitue 90 % des énergies dites vertes,avec l'éolien et le photovoltaïque. L'UE importe de la biomasse issue de la déforestation des pays émergents, ainsi la société Total a construit en France une usine de bio-fuel à 300 millions € incorporant de l'huile de palme.produite en Indonésie et de l'éthanol issu du maïs.
La biomasse s'avère un pur produit de la déforestation et de l'agriculture industrielle, de surcroît un moyen pour les industriels de capter des subventions de la part de collectivités locales abusées par le label "Bio".

Consumer la biomasse s'avère encore une folie mise à profit par des hommes d'affaires bernant les collectivités locales, car cette biomasse constitue la matière première des sols fertiles avec le substrat minéral, elle ne se renouvelle qu'en alimentant d'autres végétaux. 


430 turbines éoliennes de mer dernière génération à 5,4 MW de puissance nominale s'avèrent nécessaires pour produire 1 GW équivalent annuel, ne pouvant se passer d'une source d'énergie auxiliaire en raison du caractère intermittent de l'éolien. 

Les énergies intermittentes alourdissent inutilement la facture énergétique, par leur coût de construction astronomique par mégawatt nominal comparé au nucléaire, leur coût de maintenance et leur longévité plus courte.