Une médecine conventionnelle incapable de guérir la moindre grippe

Une médecine conventionnelle incapable de guérir la moindre grippe: voilà le constat après trois mois de pandémie quand les traitements efficaces reposent sur de la vitamine C en intra-veineuse ou un opioïde neurotoxique couplé à un antibiotique.

Quand les laboratoires promettent un vaccin neurotoxique longtemps après la dissolution du virus dans l'été, d'autres médecins échappent au cadre industriel imposé sous lequel s'abrite l'état au lieu de l'inverse, ils prescrivent des méthodes efficaces sans effets secondaires significatifs.

Il s'agit d'une médecine débarassée des conflits d'intérêts avec l'industrie, pas moins scientifique, qualifiée de préventive, prophyllactique, hygiéniste, holistique, par les plantes selon un inventaire non exhaustif. Elle cherche à réconcilier la tradition et la science, la spiritualité et le matérialsme avec comme point commun le traitement de la cause avant le symptôme.

L'objectif reste modeste, cultiver le terreau de manière à échapper à l'infection en appliquant les règles d'hygiène y compris et même surtout alimentaires.

Le postulat défendu par la théorie scientifique et confirmé par l'expérience énonce que ces pratiques mettent à l'abris de l'infection .

Si l'infection survient quand même alors selon la gravité, appliquer une des solution d'urgence ci-dessus, de préférence la vitamine C car sans effets secondaires, ou revenir au point précédent. Le postulat n'admet pas d'exception mais d'autres conditions peuvent toujours s'immiscer.

Le maître-mot s'énonce immunité mais les savants ne soulèvent qu'une partie du voile du système immunitaire car personne n'en sait plus que quelques bribes.

On voit bien qu'il ne sagit que de prévention, défendue depuis toujours par la médecine conventionnelle, sans succès car elle butte invariablement sur la dificulté de l'inculquer au public assailli par la réclame aux objectifs souvent opposés.

Ce serait trop facile de se contenter de pérorer sur la médecine conventionnelle autrement dit officielle, on sait bient que le public tout comme l'industrie s'avèrent complices de cette médecine symptomatique. L'état n'est pas médecin, Hyppocrate dans son serment prévenait déjà des charlatans, on en est encore là.