mercredi 27 mai 2020

Hygiénisme contre industrialisme





La thèse hygiéniste remise à l'ordre du jour par Casasnovas se voit reconnue de manière éclatante à l'épreuve de la pseudo-pandémie de cinéma mise en scène par le gotha mondain formé du gratin politique et du complexe mediatico-industriel.

Un confinement contre-indiqué comme l'enseigne l'histoire pluri-millénaire des épidémies, diamétralement opposé aux dispositions que préconise l'hygiénisme.

L'ordre des médecins suisses veille lui aussi au grain, selon l'auteur Slobodan Despot qui vit en Suisse, la prescription du jeûne par un médecin y entraîne sa radiation, l'instance corporative décide comment soigner un patient sans l'examiner.

Les intervenants perçoivent confusément les enjeux industriels derrière la propagande pandémique : notamment les vaccins, la numérisation de la population, sa mise en coupe réglée comme du bétail par l'informatique, tous les états dans un même bel élan pour rester grouper dans le peloton sans admettre d'échappée, la classe politique montre la plus grande réticence à intégrer l'écologisme dans son offre électorale

Il s'agit de terroriser les âmes sensibles, de siniser le peuple occidentalisé, d'oblitérer les dernières formes de conscience écologique pourtant indispensable.

Le thème démographique, du reste peu abordé, se révèle la force déterminante qu'annonçait Malthus. La Sécurité Sociale, ses branches maladies et retraites apparaissent soudainement insoutenables par enchérissement du coût du travail dans le contexte de concurrence internationale de la Chine, avec de surcroît l'avènement d'une classe sociale florissante sur la rente sociale, les médecins - et leur conjoint.

La rente sociale financée par le prélèvement obligatoire, sur le salaire et les autres revenus d'une part, complétée par l'impôt et les bons du Trésor d'autre part, alimente le train de vie de la Catégorie Sociale Professionnelle aux plus hauts revenus depuis 2010, les médecins, de plus en plus contre-productifs et soumis aux intérêts industriels de la Grande Pharmacie.

L'usure du parc nucléaire laisse poindre à l'horizon l'éventualité d'accident genre Tchernobylsk ou Fukushima.

Les intervenants s'accordent sur la thérapie de choix contre les épidémies , le jeûne et la diète crudi-végétale.

Le trou d'air hollando-macronien a permit la reconquête des rouages de l'état par l'industrie, dont l'influence dans la décision de rendre obligatoire onze nouveaux vaccins ne fait guère de doute vu le pactole.

Bien des projets industriels se révèlent des impostures destinées à flouer les fonds des investisseurs comme le projet impossible de miniaturiser l'analyse sanguine, Terranos.

Em plus du nouveau réseau de télécommunication 5g, on voit poindre à l'horizon la constellation de satellite en orbite basse destinée à couvrir l'ensemble des zones habitables.

Les mégalopoles chinoises comme Pékin et Shenzen adoptent le véhicule électrique pour retrouver un niveau de bruit er de pollution compatible avec la santé, l'approvisionnement énergétique provient des mines de charbons mais aussi des fermes photo-voltaïques et éoliennes acheminant la puissance sur des lignes haute tension à courant continu depuis des zones reculées, parcourant des milliers de kilomètres en minimisant les pertes.

L'industrie occidentale s'est déployée en Chine s'appuyant sur une main d'oeuvre docile, bon marché, l'absence de contraintes environnementales d'où les projets catastrophiques pour l'environnement comme le barrage des Trois-Gorges ou les ouvrages pharaoniques inutiles comme le pont Hongkong-Zuhai-Macao.

Le contraste reste saisissant entre l'ordre martial imposé par le Parti Communiste sur la Chine continentale marxiste-marchande et le désordre insouciant encore en sursis à Hongkong, le paradis fiscal chinois bénéficiant de l'ouverture simultanée des marchés chinois et occidentaux.

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