vendredi 19 juin 2020

Parasitisme médical

Première Catégorie Socio-Professionnelle par revenus depuis 2010, la corporation médicale ne loupe pas  une occasion de défendre ses intérêts, ainsi les médecins du  conseil scientifique COVID-19  viennent de justifier leur position en faveur du confinement de  la population malgré le bilan médical et économique désastreux.

Le confinement la population ne fait plus consensus aujourd’hui, y compris au sein de la communauté scientifique.
Venu devant la commission d’enquête avec trois autres membres du conseil scientifique, Delfraissy a laissé l’épidémiologiste à l’institut Pasteur, Arnaud Fontanet, défendre l’utilité de cette mesure. « Nous n’avions pas le choix a appuyé ce dernier, évoquant le nombre de malades anticipé par les modèles qui aurait submergé les services de réanimation. (lemonde.fr);

 Ce n'est pas la réalité mais des modèles énigmatiques qui inspirent ce conseil scientifique, de fait il  sert à diluer la responsabilité du pouvoir en cas d'échec, pour preuve on en parle beaucoup avec une économie par terre, un taux de victimes des plus élevés et pas de solution en cas de retour ou nouvelle pandémie. Le confinement général se révèle la pire des solutions en comparant les bilans, voyez le Vietnam, non confiné, 97 millions d'âmes, 1000 kilomètres de frontières avec la Chine et zéro morts du Corona.

Que des médecins, certes retraités, en soient réduit à conseiller la destruction de l'économie nationale pour lutter contre la grippe saisonnière, laisse pantois et en dit long sur l'avènement du gouvernement en temps réel, par tweet interposé sur téléphone cellulaire. Médecins par ailleurs pas du tout préparés à assumer des décisions politiques, puisqu'ils vivent grassement de l'assistance sociale financée par prélèvement obligatoire sur le travail, donc non soumis à l'obligation de résultat comme tout un chacun.

Ce conseil soi-disant scientifique  a exposé publiquement l'incompétence du corps médical, pas foutu de guérir la moindre grippe.  Le confinement revient à brûler tout le territoire pour une invasion de chenille, il s'agit de la décision prise par l'exécutif.

On aurait pu se contenter de confiner les personnes à risques mais on a préféré la détection des porteurs sans avoir suffisamment de tests et sans test tout médecin BAC+9 ne sait plus où il habite. Apparemment comme les médecins ne savent pas reconnaître une personne en mauvaise santé, soit vulnérable à la grippe, on ferme l'économie, ou alors ils pensent qu'il y a trop de personnes en mauvaise santé dans la population vieillissante mais comme on en sait rien, je suspecte l' incompétence médicale.

Autre cas d'incompétence notoire de la corporation , l'interdiction du médicament à base de plante Artemisia Annua, alors qu'elle s'avère le remède le plus efficace contre le paludisme, maladie que la médecine occidentale n'est jamais parvenu à vaincre contrairement à la médecine traditionnelle chinoise depuis des millénaires.  Le prétexte d'interdiction tient en l'efficacité insuffisante du médicament à base d'artémisia en comparaison du médicament existant tout en reconnaissant qu'il ne l'est pas à 100 %, l'efficacité du dérivé d'artémisia dépendant de la dose que selon l'agence du médicament on ne peut connaître.

Résultat la France interdit le médicament à base de la plante la plus efficace contre le paludisme.

On pourrait aussi évoquer la décision récente d'obligation de onze vaccins sur les enfants de moins de deux ans alors que leur composition reste secrète et que leurs fabricants demeurent irresponsables pénalement des dégâts éventuels infligés par leur produits. Cela rapproche la règlementation française de celle de E.U.A., passés de trois à onze vaccins obligatoires depuis les années 80 puis à 72 vaccins obligatoires aujourd'hui pour le plus grand bénéfice de la Grande Pharmacie malgré plus de 4 milliard d'indemnités versées aux victimes des vaccins sur plainte devant le tribunal dédié aux dégâts des vaccins.

Un vaccin peut rapporter gros surtout s'il est obligatoire, en effet très facile à produire, à charge du talent commercial d'en tirer le plus de bénéfice: une pincée de divers métaux lourds, de virus, de formaldéhide et le tour est joué. Il s'agit d'injecter un maximum de saletés dans le sang et laisser le système immunitaire se débrouiller. Loin d'immuniser, les vaccins répandent les infections et si le vacciné s'en sort indemne il le doit aux précautions d'hygiène prises, le plus souvent pour ne plus subir pareil traitement à l'avenir.

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