La vaccination prise en défaut

Avec l'arrivée sur le marché de nouveaux procédés de vaccination basés sur une surenchère technologique visant à justifier les subventions, éblouir le badaud et séduire les services commerciaux, il n'est pas inutile de rappeler les moyens naturels pour  nous prémunir d'une infection.

Jadis pour soigner les malades on faisait monter leur température en les recouvrant d'édredons et de bouillottes  Toute variation de température corporelle exerce une influence prédominante sur la virulence selon les biologistes de l'institut Pasteur cités dans le documentaire des années 60 ci-dessous. En effet une différence d'un degré peut entraîner un facteur 500 de virulence. On devine alors pourquoi un coup de froid entraîne une infection chez les personnes vulnérables. D'où l'immunité renforcée contre les infections chez les personnes résistantes au froid, immunité acquise par entraînement tout simplement.  Combattre le froid par le froid en somme voilà déjà une forme d'immunisation alternative au vaccin,  Wim Hof, le hollandais glaçant ne dirait pas autrement.

L'infection virale se  défait par des anti-corps  produits par le système immunitaire de l'individu infecté, le vaccin constitué par une souche rendue avirulente par variation de température ne fait que stimuler leur production en vue d'une éventuelle infection future, à supposer que le système immunitaire soit incapable de les produire alors, ce qui implique sa dégradation éventuelle avec le temps. 

En évoquant le virus de la poliomyélite, le biologiste précise qu'elle s'attrape par l'eau de boisson et l'alimentation contaminées, dès lors on ne peut distinguer si la disparition de la maladie provient de l'hygiène, du vaccin ou les deux.

La théorie du vaccin se révèle d'emblée semée de lacune, le biologiste vante son vaccin en ignorant  les fonctions de résistance au froid et d'hygiéne alors qu'il fonde sa recherche vaccinale sur la température corporelle. 

Pour se protéger d'une infection comme le COVID-19, développer la résistance au froid fait donc partie de la panoplie anti-infection avec, comme souvent, la diète adéquate et le jeûne.

L'élévation de la température corporelle combat l'infection, la résistance au froid prévient le risque d'infection, le jeûne consacre tout les moyens disponibles au système immunitaire pour la combattre à volonté, de même une diète adéquate maintien un système immunitaire fluide. Voilà quatre tactiques  à l'efficacité prouvée par Dame Nature pour se protéger d'une infection,sans recours aux médicaments.

En dernière analyse ne pas perdre de vue que les médecins forment depuis dix ans la catégorie socio-professionnelle aux plus hauts revenus, un conflit d'intérêt intrinsèque car un maillot jaune ça se défend.