En liminaire il s'agit d'une maladie du grand age en mauvaise sante de manière écrasante, se révélant dans les populations vieillissantes des sociétés industrialisées en d'autre termes la maladie du quatrième age, celui de la dépendance, il n'y a donc pas grand remède pour cette population sinon la laisser s'éteindre.
Pour traiter une infection des voies respiratoires, de l'eau oxygénée à au plus 3% vaporisée dans ces voies accompagnée d'un jeune sec d'au moins 24 heures et d'un jeune à l'eau d'au moins 72 heures pour la surmonter en quelques jour . Pour une infection intestinale, jeune sec puis hydrique de quelques jours, vitamine C en haute dose en injection ou sous forme liposomale, vitamines D et autres vitamines sous forme naturelle, plantes médicinales telles l'artémisia annua. Si le jeûne s'avère impossible il reste le recours à la diète crudi-végétale.
La plupart des cas graves correspondent à des personnes très agées et très affaiblies par d'autres maladies que le COVID-19, éviter l'acharnement thérapeutique pour soigner les autres patients semble dès lors équitable.
Il n'y a aucun besoin d'hospitalisation, de respirateurs autrement que les cas critiques où un décès s'avère imminent, le confinement et le masque s'avèrent superflus pour l'immense majorité de la population.
En prévention une hygiène alimentaire à base de vitamines naturelles, comme la diète crudi-végétale, s'avère favorable.
Le traitement dispendieux dispensé par l'hôpital public s'avère inefficace précisément pour cette raison, faire du chiffre sans limite puisque la Sécurité Sociale paie sans rechigner la moindre lubie du médecin.
Ce n'est pas sans rappeler un comportement très répandu dans l'administration vis-à-vis des dépenses publiques.
Les vingt maladies les plus courantes en France s'avèrent tout-à-fait soignables avec les méthodes de la naturopathie à base d'hygiéne, jeûne, dète et plantes médicinales.
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