Les marchands du temple médical

L'affaire se présente délicate car il s'agit d'éviter de jeter le bébé avec l'eau du bain, pour employer une expression colloquiale, autrement dit tâcher de soigner la corruption des médecins avec un remède pas pire que le mal. 

Pour établir cette corruption, recourons aux témoignages des rares médecins qui s'aventurent à la dénoncer publiquement preuves à l'appui.

Soit dit en passant l'Ordre des Médecins reste un vestige du gouvernement de Vichy, mis en place dans le cadre de la persécution des juifs dans la profession médicale pour le compte de l'occupant National-Socialiste allemand, dès lors nul ne doit s'étonner de son caractère inquisitorial prononcé.

Propos de médecins:

Dr. Peronne:  On nous prépare une dictature médicale.

Les experts disant que des études sur placebo sont nécessaires mêmes si les essais d'un médicament sont positifs à 98 % s'avèrent simplement achetés par l'industrie pharmaceutique.

La plupart des sociétés médicales disposent de millions d'euros versés par l'industrie pharmaceutique  sur leur compte en banque.

Depuis 20 ans, l'industrie pharmaceutique européenne s'est regroupée aux E.U.A. devenu le centre de décision global, depuis les experts y décuplent leurs revenus.

Que l'état interdise la prescription d'un médicament comme le Hydroxy-Chloro-Quine s'avère un scandale.

L'OMS appartient à Bill Gates qui règle les salaires depuis la défection de ses états membres, dernièrement les E.U.A..

Nul besoin de vaccin pour le virus Corona, avec le HDC et l'antibiotique associé azythromycine, administré en début de symptômes on soigne la plupart des cas, soit 98%  pour un coût négligeable. Prétendre le contraire signale une corruption.

Tous les grands journaux scientifiques s'avèrent gangrenés par la corruption.

Il y a 20 ans il y avait très peu de lobbyistes à Bruxelles, quelques anglo-saxons, aujourd'hui ils sont légions.

Le Dr. Péronne dénonce le traitement contre la maladie de Lyme basé sur un test inopérant imposé par l'Ordre des médecins qui poursuit tous ceux qui guérissent cette maladie si le test ne la détecte pas.

La France est le seul pays à interdire la commercialisation de l'Artémisia Annua, une plante médicinale aux effets thérapeutiques reconnus dans le monde.

Le masque en plein air ne sert à rien.

Les tests PCR ont un taux énorme de faux positifs tout en ruinant la Sécurité Sociale.

La stratégie anti-corona des pro-HCQ consiste à détecter précocement par test puis traiter avec l'HCQ + azythromycine mais les résultats tardent trop pour les EHPAD.

Un malade COVID en réanimation représente le jackpot pour l'hôpital.

Professeur de physiologie Toussaint: le programme de test a coûté 2 milliards pour ne montrer que la diffusion extrêmement rapide du virus sans la limiter en rien. Le confinement n'est rien d'autre qu'une catastrophe économique. Pour L'OMS le confinement aggrave la situation.

Dr Fouché : les masques en plein air ne servent à rien sinon à intoxiquer, en particulier sur les enfants , très peu virifères.

La deuxième vague s'avère des faux-positifs détectés par un test PCR avec amplification à 45 cycles au lieu de 25. De manière générale les tests PCR ne s'avèrent pas fiables.

Mes confrères critiques n'annoncent jamais leurs conflits d'intérêts alors que la loi l'oblige.

La courbe des décès ne suit pas la courbe des infections dans la deuxième vague contrairement à la première.

Les 80 % de traitements hospitaliers s'administrent hors autorisation de mise sur le marché, comme le cas du HCQ-Azythromycine ou 100 %  des infections osseuses car un médicament peut s'avérer efficace sur des maladies non prévues à l'origine.

Il existe un complot mondial contre le HCQ car il ne rapporte pas assez d'argent aux laboratoires.

La loi Bachelot introduisant la tarification hospitalière à l'acte a transformé la salle de réanimation en poule aux oeufs d'or, certains confrères répondent que c'est faux au contraire.

25 euros la consultation d'un généraliste s'avère  une rémunération ridicule.

Commentaire:

Il est piquant de constater que les médecins dénonçant la corruption dans leur profession ne laissent pas de s'inquiéter du niveau de leurs revenus pourtant le plus haut de toutes les catégories socio-professionnelles. De même ils ne s'empressent pas de dénoncer le monopole d'Etat sur la médecine académique alors que d'autres conceptions efficientes comme la naturopathie, l'homéopathie ou l'acupuncture  bénéficient d'un soutien de plus en plus large du public.