jeudi 1 avril 2021

La pyramide hiérarchique de la fonction publique hospitalière


Description ubuesque de l'administration hospitalière publique qui explique pourquoi il n'y a rien à en attendre vu le coût astronomique et le bilan négatif de la médecine non urgentiste sans compter  l'ambiance de panier de crabe régnant dans les établissements. La hiérarchie s'ingénie à privilégier les protocoles de soins les plus chers et les moins efficaces exploitant toujours plus de machines comme pour le COVID où les respirateurs au prix exorbitant font des ravages en séquelles et décès de patients. 

Nid de maladies nosocomiales, l'hôpital serait à l'origine de 40 000 contaminations COVID, le volet  hôtellerie de l'hôpital laisse aussi à désirer dans la mesure où les thérapies comme le jeûne, la phytothérapie et l'homéopathie se voient ignorées au nom d'un monopole imaginaire. Selon le médecin Kron, le lit d'hôpital public coûte 66% plus cher que le privé et le reste à l'avenant. 

Le COVID-19, une grippe dégénérant en pneumonie atypique quand elle est mal soignée néanmoins  guérissable avec des thérapies simples et peu onéreuses, ne fait que révéler un peu plus la gestion déplorable d'une sécurité sociale fonctionnarisée jusqu'aux yeux, le tout au dépend de l'emploi. 

La fonction médicale se considère comme une sorte de fonction sénatoriale dont la vie du peuple dépendrait, justifiant les postes de commandement de subalternes dans un labyrinthe hiérarchique avec les salaires mirobolants qui les accompagnent. Au bilan, débordés par une grippe saisonnière atypique, ils se voient réduits à supplier l'exécutif de bloquer l'économie pour ne pas sombrer dans le ridicule,  débordés par une maladie n'affectant que les personnes souffrant déjà de co-morbidité.

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