Un chef de réanimation à la Pitié Salpêtrière, le médecin Constantin pour ne pas le nommer, quémande publiquement la vaccination de la population car il n'y aurait pas de traitements d'après ses trente ans d'expérience. Il ne jure que par les chiffres et les courbes qu'il regarde apparemment plus que les malades et se montre formel, seule la vaccination pourrait sauver l'humanité. Selon lui une surmortalité annuelle de 65 000 c'est énorme qu'elle inclue les effets collatéraux de la pandémie nocebo ou non et les conflits d'intérêts certes pullulent, mais pas plus qu'ailleurs.
L'age de réanimation atteint 59 ans, il existe des infectés de 30 ans, on doit vacciner les personnes saines, les contaminés asymptomatiques juste aux cas où. Tant pis pour pour le cocktail vaccinal et les dommages collatéraux infimes car on sait les traiter si détectés avec précocité.
Le problème voyez-vous, tient dans la congestion des services, l'insuffisance des respirateurs, des lits, du personnel soignant, revoici les sempiternelles revendications syndicales. Un type en blouse blanche se plaignant tout au long de son entretien avec une journaliste de gauche quelconque et s'avouant vaincu d'avance à la moindre toux, voilà l'individu dont la santé publique dépend.
La version officielle élaborée par la corporation médicale à l'attention de Macron:stipule de ne pas chercher car il n'y a pas de traitement, de vacciner et lâcher les crédits et les augmentations de salaires car la corpo d'abord. La foi inébranlable en la piqûre salvatrice fera le reste selon Diafoirus appuyé sur son CV scientifique pour tourner au Dr. Mengele expérimentant sur une population cobaye.
Une médecine officielle et monopolistique entre toutes, incapable de soigner la moindre grippe dont la dernière en lice, COVID-19 se révèle particulièrement bénigne pour peu que l'infecté n'en soit pas à l'article de la mort en raison de co-morbidités multiples.
Des traitements il en existe à la pelle mais ne figurent pas dans le livre écrit par Big Pharma pour le dire de façon imagée entre autres jeûne, cure de Kneipp, vitamine C à haute dose et tutti cuanti
On doit à ce genre de fonctionnaire hospitalier posant comme médecin à blouse blanche les tests bidons , les masques étouffants, les respirateurs brûlants, les confinements paralysant l'économie sauf Big Pharma pendant des mois sinon des années, couronnés par l'apothéose vaccinale.
Toutes mesures aussi contradictoires qu'inutiles mais si rémunératrices pour Big Pharma, privant le citoyen du droit légitime de gagner la vie du foyer. Des mesures prises par des édiles crédules, obnubilés par la logique électorale, sans autre remède que d'avaler les couleuvres servies par la corporation tout en se laissant rouler par leurs conseillers ad hoc nommés pour la circonstance.
Le principal défaut de la tournante électorale reste l'arrivée régulière aux manettes d'édiles sans expérience suffisante, technocrates hors-sol dont la perte de crédibilité se révèle abyssale alors qu'elle affecte désormais les forces de l'ordre et l'armée.
Pour le pouvoir c'est comme si le sol se dérobait sous ses pas, préparant l'alternative électorale honnie, l'avènement du RN comme derniers recours de la Vème. Ses maladresses servent irrésistiblement l'Elysée sur un plateau à l'adversaire puisque'LRM se présente de droite comme de gauche en échouant avec fracas.
Ratisser trop large tue le ratissage.
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