L'Internet s'avère aisé à contrôler dans un milieu propice à véhiculer n'importe quel message pour peu qu'on en paye le modique prix, le dernier en lice, le soit-disant danger du virus grippal SARS-2 assimilé à la huitième plaie de l'Egypte, décimant les populations d'octogénaires à travers le monde.
Comme annoncé les vaccinés tombent comme des mouches à la moindre allergie sur on ne sait quelle substance secrète composant les vaccins en circulation. Des professeurs, des militaires, des étudiants, au pif, à la roulette russe, pendant que Big Pharma empoche les milliards `par dizaines.
Il y a du blé à faire sur le vaccin meurtrier après les tests bidons, les masques étouffants, les respirateurs crevant les poumons et les confinements paralysants. Il se révèle l' affaire en or du moment en ces temps de vaches maigres où la Chine accapare le commerce et les ressources globales. Démonstration d'autorité corrompue imposant une succession de mesures aussi inutiles que contradictoires, la campagne sanitaire globale s'avère le dernier avatar d'incursion administrative dans l'espace privé. Il s'agit de vendre dans un contexte de concurrence entre multinationales et chaque état se doit de favoriser son écurie.
Le schéma n'est pas tout neuf, sur le marché depuis le début des années quatre-vingt avec le SIDA , un virus imaginaire censé réduire en poussière le système immunitaire pour lequel Big Pharma a vendu un premier médicament meurtrier l'AZT puis un traitement complètement inutile sinon toxique la trithérapie et tout cela à prix d'or sur le dos des prélèvements obligatoires et autres mutuelles d'assurance maladie.
Il s'agit de mettre sur le dos d'un virus réel ou supposé peu importe une maladie quelconque détectable par un test qui réagit à n'importe quoi puis de faire marcher le tiroir-caisse en vendant un vaccin secret censé libérer le badaud de tous ses maux. Sans blague, la bonne vieille histoire de l'huile de serpent. le comble en obtenant l'aval du gouvernement contre espèces sonnantes et trébuchantes pour ses bonnes oeuvres électorales en attendant l'imposition pure et simple.
Le schéma s'étend à l'ensemble de la planète, pays après pays suivant une campagne marketing impécablement rodée par des années de globalisme. Aux antipodes, au coeur du Congo ou de la jungle amazonienne, dans les sous-marins nucléaires se trouve toujours un smartphone allumé pour colporter la bonne nouvelle du vaccin pourfendant le virus néfaste sans oublier le masque qui va bien.
Voici le blog de Christian Tal Schaller, indispensable expertise anti-vaccin dans la langue de Molière.
La critique anti-vaccin à visage découvert par le très chrétien Jean-Jacques Crèvecoeur.
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