mardi 25 mai 2021

Pandémie virtuelle: brésiliens, indiens et occidentaux même combat

Le Brésil et l'Inde se désolent de manquer de respirateurs pour leurs malades  attribués au COVID-19. Ces pays émergents  appliquent donc le même protocole de soin que les pays développés sur la base du mythe de l'absence de traitement. Alors on hospitalise sous respirateur les cas graves et pour le reste on s'en remet à la providence vaccinale.

Cela montre en passant que la santé des pays émergents se dégrade autant que chez les développés sous l'effet de la mondialisation mercantile, en premier lieu l'industrie agro-alimentaire toujours à base d' OGM, pesticides, engrais, additifs et substituts chimiques. Victimes de leur propre poussée démographique, au fur et à mesure qu'ils adoptent l'alimentation industrielle aseptisée mais dénaturée, ils deviennent vulnérables à la moindre épidémie de grippe bénigne comme le COVID-19,  perclus d'addictions alimentaires et de dépendances médicales

L'Internet, la virtualisation, n'a fait qu'accélérer un mouvement déjà bien engagé par la thalassocratie mercantile sous la houlette anglo-saxone.

Propagande, industrie, santé liés par la finance contrôlent désormais l'économie par le truchement de la consommation pour le compte d'une ploutocratie globale. Cela ne fut pas toujours et partout le cas avant que l'industrie ne métastase comme si c'était sa nature même.

Entre temps nous sommes retournés au temps des cartels, lobbies dans la nouvelle nomenclature, devenus l'objectif à abattre pour sauver l'environnement qu'ils épuisent à leur guise. Finalement cette pandémie virtuelle a du bon, celui de la prise de conscience  écologique au risque de paraître écologète.


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