lundi 31 mai 2021

Pandémie virtuelle: La religion vaccinale une question de gros sous

 Soit le VIH, un virus imaginaire nié par des prix Nobel, professeurs et médecins mais occasionnant un large flux financier autour de la tri-thérapie à vie et à plus de 1000 €  par  mois sur les deniers des assurances publiques et privées, de surcroît ne servant  à rien sauf ne pas tuer le malade contrairement au précédent traitement AZT fameux pour sa létalité. 

De fait  nombre de malades attribués au SIDA lassés par la routine médicamenteuse soignaient définitivement leurs symptômes par naturopathie principalement des régimes alimentaires et se trouvaient fort marris de s'apercevoir que leurs symptômes ne revenaient pas en abandonnant le traitement. Cependant peu osaient s'en offusquer en public jusqu'à Bernard Lachance, le chanteur de variété québécois, décédé le 11 mai quatre ans après l'arrêt de huit ans de traitements rétroviraux suivant trois ans d'AZT.  Il rendait responsable de ses symptômes le traitement Big Pharma prescrit par les médecins et rapportait haut et fort seulement ce que publiaient des scientifiques à propos du VIH à savoir qu'il n'y a toujours aucune preuve de son existence quarante ans après l'arrivée du SIDA.

Son site Internet https://www.sidacensure.com/ compile des citations de savants et journalistes  parlant de foutaise et d'arnaque à propos du VIH,  un centre de profit parmi d'autres pour le cartel de la grande pharmacie. 

Il existe donc un  précédent d'arnaque médicale planétaire au VIH  qui préfigure la foutaise covidienne propagée sur les réseaux sociaux, la pandémie n'est qu'imaginaire et les millions de morts attribués au coronavirus arbitrairement au lieu  de vieillesse ou d'autres maladies. 

Depuis le mensonge colporté par les média,s presque tous virtualisés sauf quelques exceptions comme le Canard Enchaîné, devient permanent car les journalistes rapportent les mensonges des médecins sur les décès surévalués du COVID-19 et les décès sous-évalués.des vaccins.

On croyait sans preuve au VIH, aujourd'hui on croit sans preuve à la menace du SARS-COV-2 tout en s'abreuvant religieusement de la propagande vaccinale omniprésente.

Big Pharma n'achète pas seulement les emplacements publicitaires autorisés  mais des parts de compagnies propriétaires de journaux ou de médias audio-visuels écoutés ou écrits, comme le juif états-unien originaire d'Australie Ruppert Murdock, actionnaire de GSK, Wall Street Journal et Fox News, le gros des profits émanant des laboratoires. 

Sans les investissements des laboratoires, la rentabilité des médias serait insuffisante, dès lors  il s'agit pour les directeurs de publication de trouver l'équilibre entre leur survie et celle de leurs clients.  Les chinois font du blé avec les fournitures médicales droits d'auteur oblige, les occidentaux se taillent la part du lion avec les vaccins en se réservant le marché domestique d'où est exclue arbitrairement  la concurrence.

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