vendredi 14 mai 2021

Pandémie virtuelle

En dépit des millions de covidés à l'abattoir il n'y a pas plus de vaccin efficace que de virus impossible à neutraliser par des soins élémentaires à moins d'être perclu de comorbidités comme dans l'écrasante majorité des décès attribués au COVID-19.

Les solutions industrielles comme le vaccin n'existent pas en médecine, domaine de l'individu par prédilection. Macron passe de trois vaccins obligatoires à onze sans preuve de la moindre efficience mais sous l'influence de l'industrie, toujours en cheville avec le pouvoir.

Dès lors la pandémie virtuelle se révèle  un instrument de conquête commerciale mis à profit sur le secteur de la santé publique, chasse gardée du cartel de multinationales de Big Pharma prenant soin d'arroser largement dans un contexte ou l'industrie chinoise menace les positions établies. 

Propagande pour contrer l'influence des réseaux sociaux , outils aussi commercial que politique comme la presse le fut en son temps,  de partout les autorités se voyant débordées depuis trop longtemps saisissent la balle au bond pour faire mine de reprendre l'initiative.  Le nouvel épisode du narratif officiel énonce que l'économie reprend sous la protection du vaccin alors qu'il n'en est rien, la décrue de virulence se doit à la sortie de l'hivers à l'instar de la grippe commune.

L'indicateur boursier demeurant l'arbitre de l'économie, les positions restent ainsi établies, la pandémie virtuelle fait tourner le commerce de certains secteurs au détriment des autres mais la roue s'avère grippée et ne tourne plus librement.  

L'économie doit entreprendre sa  mutation annoncée vers l'exploitation soutenable des ressources naturelles autour de l'agriculture et l'élevage écologiques, la médecine naturopathe,  le recyclage des déchets et les déchets recyclables avec l'accompagnement au moins propagandiste des autorités se tournant résolument vers une économie moins bureaucratique et plus productive  durablement.  Plus d'éleveurs-cueilleurs et moins de distributeurs de RSA en somme, un  message partagé par Jacques Attali entre autres dans son récent ouvrage . 




Aucun commentaire :

Enregistrer un commentaire

Les commentaires sont soumis au filtrage anti-publicitaire de l'hébergeur