Conséquence de la pandémie, la consommation d'oeuvres musicales retourne aux enregistrements à défaut de tournées de spectacle comme palliatif à la précédente chute des ventes de disques, confirmant au passage la stabilité de la consommation musicale pandémie ou pas.
Ce sursaut ne passe pas inaperçu chez les investisseurs plus que jamais en quête de rentabilité en ces temps de taux d'intérêts bas sinon négatifs, d'autant que les artistes se montrent désireux de monétiser leur droits d'auteur et d'enregistrement.
L'entrée en bourse réussie du groupe chapeautant Warner Bros a enhardi les propriétaires au point de racheter les droits d'enregistrement du catalogue David Guetta couvrant deux décennies,50 millions de disques vendus et un nouveau contrat de production à la clé.
L'investisseur Léon Blavatnik originaire d'Ukraine et déjà propriétaire de Spotifify a engrangé en cette occasion 1,9 milliard révélant comment il fait fructifier les gains des ses usines d'éthylène au gaz de schiste pour la synthèse de plastiques. Cela frise le blanchissement de profits inavouables.
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