Nom de scène d'une vedette de webcam bulgare qui s'acheta une belle maison sur une île méditerranéenne après dix ans de dur labeur à satisfaire une clientèle en ligne non moins exigeante pour autant, de surcroît dans un milieu où les stands convoités font l'objet d'une concurrence impitoyable. Les hautes marches du podium ne sont pas volées, à déchiffrer toute la demie journée en petite tenue les inepties du tout venant, pour rarement plus de la moitié du chiffe d'affaire client, ce n'est pas une sinécure.
Hormis les moeurs saphiquse, en passe de devenir une signature, la comparaison s'arrête là avec Mila en faveur de nos médias ces jours-ci.
Remarquez en matière de mahométans les bulgares ont donné à profusion. Il n'y a pas si longtemps lors du retrait de l'empire ottoman des Balkans en pleine guerre d'indépendance de la Grèce au milieu du XIXème siècle, les janissaires massacraient des villages entiers pour entasser les cadavres dans les églises jusqu'à la voûte,.Un journaliste anglais en route pour la Grèce, à la vue d'un village désert, s'aperçut du tableau macabre en remontant le ruisseau de sang qui traversait son chemin.
Notre Mila, pour un éclat d'humeur et d'insulte à la religion mahométane au cours d'une conversation privée puis divulguée virtuellement, soit sans insulter personne, a récolté le modique nombre de cent mille insultes et menaces de mort la propulsant au firmament des influents virtuels, catégorie égérie islamophobe à son corps défendant. Confirmée lors du procès pour l'exemple relayé à la Une ou à la Deux des éditions nationales, limitrophes et au delà. L'ascension au statut de célébrité sulfureuse vaut la peine d'assister au procès même masquée, juste compensation d'une année de protection policière doublée de privation d'établissement d'enseignement même relativisée par l'atmosphère de pandémie.
La plainte de Mia se convertit en nouveau procès de l'éternel mahométan, le fanatisme lancinant. Le voici introduit en songe dans les remparts de Constantinople en attente que le conseil des Oulémas donne le signal tant attendu, les trois jours de sac.
Mia s'en est servie comme marchepied pour la gloire, pendant que les mahométans enragent du succès d'audience d'un auteur commentateur omniprésent dans les médias qui ne cesse de pourfendre leur fanatisme en se moquant des accusations de racisme qu'il essuie pour toute réponse.
Comme toujours les réseaux sociaux censurent la moindre allusion aux sujets sensibles mais publient sans vergogne les insultes et menaces de mort envers une mineure. Quand ce n'est pas Trump, c'est le vaccin, quand ce n'est pas le vaccin c'est l'extrême-droite, ou l'islamophobie ou la LGBT-phobie etc etc... Quand l'outrage vient apparemment d'un musulman c'est l'impunité.
La partie sanglante du décors, l'envers du procès met en scène les décapitations en pleine rue de professeur et chef d'entreprise ,le meurtre de policier et policière au commissariat, le meurtre d'ouvrier osant croiser le chemin du caïd du quartier entre autres facéties. Ne pas désespérer Bab-El-Oued, il ne s'agit que du grand remplacement prolétaire dans l'espoir vain de renflouer le vote gauchiste et son idéal multi-culturel.
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