La politique étrangère échevelée de Joe Biden

Joe Biden au moins aligne ses actes sur ses paroles, le moins que l'on puisse dire de Trump, c'est qu'il n'en allait pas de même avec lui. Biden a retiré ses troupes d'Afghanistan devenu un terrain de jeu de l'OTAN et le monde ne lui en sera jamais assez reconnaissant. Que Biden soit en un faucon déguisé en colombe, à l'instar d'Obama, d'aucuns le soutiennent ouvertement puisque le mandataire semble avoir pris en grippe la Chine, la Russie, mais aussi l'Iran, Cuba, le Venezuéla etc, etc.  Biden voit des nains partout. 

 D'Afghanistan, les E.U.A. sont partis avec la caisse ne laissant aux talibans qu'un fond de roulement de 100 millions, les dix milliards de réserves maintenus au frais aux E.U.A. et en Europe. sous prétexte que la dernière fois au gouvernent les talibans finançaient les groupes terroristes djihadistes de par le monde. Il ne faudra guère s'étonner si cette fois les islamistes puisent dans l'arsenal providentiel pour nourrir la djihad globale.

Joe Biden subtilise à la France un contrat d'armement avec l'Australie de 35 milliards en prétendant sauvegarder l'alliance Atlantique ainsi que sa prépondérance dans le pacifique, en Amérique Latine,  au Proche-Orient tout en ouvrant un chantier en Ukraine et dans le Sahel  Africain.  Les E.U.A. sont devenus les prussiens militaristes du XIXème siècle tirés par l'industrie de l'armement, ce fameux complexe militaro-industriel que dénonçait  le Président Eiseinhower en son temps.

Seulement à vouloir étendre les ligne de front à l'infini on s'expose inévitablement à l'affaiblissement de ses mailles