Des problèmes il en pleuvait comme à Gravelinnes, il fallut en ajouter un aussi fallacieux que le COVID-19 et son virus introuvable SAR-COV-2.
Les politiciens démocrates, certains et non des moindres débutant comme Trump et Macron, représentent subitement la multitude avec un programme épais comme une feuille de papier à cigarette dès leur première élection. Couronnés, quand la tuile survient le réflexe d'appeler à la rescousse les submerge pour remettre leur sort entre les mains d'un obscur préposé attendant son heure dans l'ombre, s'imaginant que le serviteur de l'Etat laisse ses conflits d'intérêt au vestiaire quand il entre au bureau.
En contexte de crise larvée, sauve qui peut. Les laboratoires, éreintés par les scandales à répétition comme le marketing des opioïdes dernier en date, privés de revenus par les médicaments génériques et la péremption de leurs patentes, sont à l'affût de nouveaux centres de profit afin de maintenir leur train de vie démesuré.
Ces laboratoires ont sautés sur l'aubaine du virus exotique s'ils ne l'ont pas fomenté de longue date, ce que d'aucuns soupçonnent, comptant sur l'appui sans faille des médias de propagande à leur solde. Ainsi le blogueur britannique Paul Watson a recensé pas moins d'une quinzaine d'émissions d'information états-unienne à grande écoute sponsorisées par l'incontournable compagnie Pfizer,
En France on n'imagine guère le logo de Sanofi imprimé sur le JT du vingt heures, c'est ainsi que le siège des principaux laboratoires se trouve aux E.U.A. S'il y a conspiration, alors uniquement celle des laboratoires constitués en lobby dûment enregistré comme tel.
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