lundi 25 octobre 2021

Un parti socialiste décadent entre obligation vaccinale et salles de shoot


 Si Macron et la REM parviennent à reléguer le parti Socialiste aux oubliettes ils auront rendu un fier service, encore que le parti au pouvoir ne montre guère d'empressement à transformer l'essai,  il a besoin d'allié contre la montée populiste de gauche et droite, nouveaux extrémismes, ou l'alliance redoutée LR-RN, à l'ordre du jour et raison d'être de Macron selon les mots même de Hollande.

Un PS ds notables embourgeoisés devenu le parti des salles de shoot et de l'obligation vaccinale , attributs gros à supplanter les précédentes casseroles de la corruption et l'insécurité. Ce parti ne devait pas se relever  des attentats de 2015,  mais  le sera néanmoins in-extremis par une alliance avec LREM, à défaut d'un menu plus ragoutant. 

Le spectacle affligeant de la jeunesse adonnée à la piqûre préfigurait l'injonction d'inoculation propre à la campagne du COVID, au résultat nul et non avenu, quand une alternative démontrée existe bel et bien, la dépénalisation,. Soit la déréglementation des stupéfiants en échange de leur assimilation à l'alcool, afin de couper l'herbe sous le pied des trafiquants et faire chuter la consommation dite d'insoumission. Trop compliqué pour la mégère de la mairie de Paris car il est tellement plus simple de copier les bêtises commises par les voisins.

Que la démocratie s'épuise en luttes intestines, affaiblissement mis à profit par les régimes autoritaires comme la Chine ou carrément despotiques des pays musulmans, c'est un constat répandu dans les colonnes de la presse .  Pas facile pour Macron irresponsable de l'usure des institutions., néanmoins il dispose de diverses solutions pour retrouver l'élan vital, comme  stopper l'assistanat contre rien, les allocations à gogo en échange de rien si ce n'est un bras d'honneur, toutes dérives surgies du proverbial opportunisme politique. L'assistanat généralisé comme plaie biblique recouvrant une nouvelle vigueur par la disgrâce du COVID et ce globalement dans les grandes démocraties .  Une assistance publique qui écœure les non assistés en réduisant leurs revenus tout en produisant encore un nouveau clivage de l'électorat. On attendait de Macron qu'il  transforme l'essai de son élection en remettant la France assistée au travail, il l'a enfoncé d'avantage en confinement et assistance non sollicitée. du public qui ne demandait qu'on le laisse travailler même au prix d'une vaccination tout sauf inoffensive. 

D'où le bilan désastreux à l'orée de la  présidentielle, celui de l'immobilisme littéral dans un pays déjà bloqué sur des positions irrédentistes rappelant la guerre des tranchées.

Signe des temps,  Eric Fiorile, entrepreneur en série, écope de huit mois de prison préventive pour la publication sur son site Internet d'un  rappel à la loi dont trente mille copies furent adressées à des notables de l'Etat par des internautes civiques. Les effondristes, héritiers légitimes des déclinistes, tâchent de semer la panique en pariant sur une supposée faiblesse du pouvoir. Les petits partis s'en donnent à coeur joie, courant après la manne providentielle du financement public, même Edouard Philippe s'y met, un citoyen, un parti,  nouvelle devise nationale. 

Dans ces condition le RN aurait une carte à jour s'il n'avait contre lui l'influente classe des cadres, celle qui tient les rênes mais rechigne à les confier à un parti aussi dénué d'expérience qu'un sapin de neige en été. Quand au LR la défection de Philippe lui porte le coup de grâce ou les rats quittent le navire, au choix, un bilan désastreux pour Christian Jacob qui a fait fuir Philippe à n'en pas douter.

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