Les médias libéraux transatlantiques accusent régulièrement la guerrilla colombienne des FARC de se financer par le trafic de Cocaïne, une industrie de contrebande dans ce pays. En effet, une armée en campagne d'une dizaine de millier d'effectifs même légèrement équipée supporte a priori des charges conséquentes nécessitant un financement soutenu. Selon leur déclarations, les FARC prélèvent une taxe sur les feuilles de coca dans les territoires qu'ils contrôlent et rançonnent les victimes qu'ils enlèvent à cette fin, ce qu'ils qualifient d'opérations militaires, ils condamnent le trafic de cocaïne et nient toute participation au-delà de ce péage. Or, il n'existe pas de preuve, d'aveu ou témoignage - en tout cas sur le net - étayant l'accusation de narco-trafic depuis le début du conflit en 1964. Par contre les preuves abondent à l'encontre d'un de leurs pires ennemis la contre-guerrilla paramilitaire, en effet il n'est pas rare que l'arrestation d'un trafiquant ou d'un sicaire révèle un passé bien rempli dans les colonnes de cette armèe parallèle, comme récement à Valencia.
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