Il y a sans doute de bonnes raisons de diversifier la production énergétique vers cette filière restée au stade expérimental puisqu''elle est adaptée au civil et fut testée favorablement pendant cinq ans aux Etats-Unis dans les années 60. Il y a des compétences au CERN pour rebondir sur une technologie cumulant les avantages et dont le seul défaut politique serait d`être impropre à l'usage militaire, domaine de l'uranium, selon les tenants du thorium.
On évoque très peu en France cette alternative pourtant viable, alors que des pays émergents comme la Chine ont lancé leur projet. Les ambitions de la France réclament pourtant deux filières puisqu'elle tient à la dissuasion nucléaire, donc la configuration composée d'une centrale à l'uranium et le reste au thorium conviendrait pour maintenir le niveau de production français.
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