Nos représentants s'avèrent soit coupables de profiter du système juridique qu'ils conçoivent , soit ignorants de ce système mais dans les deux cas ils se rendent indignes d'exercer leurs prérogatives.
Plus nos représentants grimpent l'echelle du système, plus ils en sont complices puisque jamais ils ne corrigent les abus dont ils profitent bien que régulièrement dénoncés en place publique.
Aujourd'hui le système juridique ne s'avère pas seulement économiquement insoutenable comme le témoignent les incivilités et le chômage persistants mais entraine inexorablement vers un tourbillon de violence comme l'atteste l'engagement partisan dans la guerre de Syrie , à l'origine des sanglants attentats de 2015 et 2016.
Ainsi il s'avère au moins contre-productif que nos représentants décident de leur rémunération comme des chefs d'entreprise. Si le pouvoir exécutif décide de la rémunération du législatif et qu'en retour ce dernier rémunère l'éxécutif de façon transparente alors tout abus serait patent et qualifierait sans détour les protagonistes aux yeux de la citoyenneté.
De même tout salaire peut avantageusement être indexé sur le salaire minimum légal de façon à répercuter tout changement de la productivité nationale . Ces rémunérations une fois définies de façon croisée il n'y aurait plus lieu de les changer outre-mesure.
La constitution française précise que le travail d'un représentant reste bénévole , il n'y a donc guère de raison de le rémunérer quand des cohortes de retraités confortablement pensionnés se tiennent prêt à en assumer les charges pour peu qu'ils daignent se présenter à une élection.
La constitution française précise que le travail d'un représentant reste bénévole , il n'y a donc guère de raison de le rémunérer quand des cohortes de retraités confortablement pensionnés se tiennent prêt à en assumer les charges pour peu qu'ils daignent se présenter à une élection.
Aujourd'hui le système juridique ne s'avère pas seulement économiquement insoutenable comme le témoignent les incivilités et le chômage persistants mais entraine inexorablement vers un tourbillon de violence comme l'atteste l'engagement partisan dans la guerre de Syrie , à l'origine des sanglants attentats de 2015 et 2016.
Comme un cheval ayant pris le mors aux dents entraine le cavalier à sa perte, le corps des représentants mène le corps électoral vers une destination inconnue.
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