vendredi 20 avril 2018

Les frasques de M.Trump

    Les étatsuniens se fichent comme d'une guigne des scandales liés à la vie privée de leur Président puisqu'ils ont connu bien pire. Il n'y a de loi punissant l'adultère qu'en Islamie.

    John Kennedy, le meilleur Président de tous les temps, tirait sur tout ce qui bouge, Lyndon Johnson se vantait d'un meilleur score que son prédécesseur en comptant seulement les conquêtes fortuites, M. Bill Clinton reste le serial coureur exposé en place publique, pour autant leur bilan inégal ne se mesure pas à l'aune de la probité conjugale, au grand chagrin des derniers puritains à espérer la chute de l'hôte de la Maison-Blanche.

    Par contre si on examine le bilan des présidents épargnés par la presse tabloîd , il y a de quoi frémir. M. Jimmy Carter confiait au magazime pour adulte Playboy avoir beaucoup commis l'adultère "en esprit": sa lubie de soumettre l'aide étatsunienne au respect des Droits de l'Homme coûta au camp occidental les précieux alliés qu'étaient l'Iran du Shah Rézhavi, L'Afrique du Sud de l'appatheid, le Nicaragua des Somoza. 

    Quand à M. Obama, M. Propre au point de se faire voler la vedette par son épouse à la Une de la presse magazine,  il a gratifié son peuple de pas moins de cinq nouvelles guerres, Lybie, Somalie, Yémen, Syrie et Ukraine en plus de ne pas achever les deux conflits hérités de M. Bush fils en Irak et Afghanistan contrairement à sa promesse de campagne.

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