Msrioupol, ville balnéaire du Donbass censée pencher vers la Russie n'a pas pour autant échappée à sa grosnysation par les bombardiers et artillerie russes. La propagande bat son plein, un trou béant dans le toit du théâtre où se réfugiaient des civils n'empêche pas les Russes de l'imputer à la défense ukrainienne. En réalité les russes imputent leur échec à la présence d'un soldat ukrainien derrière chaque civil, ce bouclier humain. Donc ils peuvent bien raser. la ville russophone. Les observateurs indépendants encore sur place ne cessent de démentir la désinformation russe.
Marioupol la ville de 100 000 habitants réduite à des décombres par la grande puissance kléptocratique russe en guerre contre son frère-ennemi l'Ukraine, pillée par ses propres kleptocrates richissimes, telle est situation si injuste que nulle réparation sera désormais suffisante.
Putin avance que sa guerre serait préventive à une offensive prochaine de Kiev sur le Donbass séparatiste.. En somme les Ukrainiens tentent de reprendre le contrôle de leur territoire à l'image de la Russie envers la Tchétchénie en 1999, Putin tâtant l'effet de sa propre médecine.
La Russie et l'Ukraine deviennent comme Cain et Abel.
Question suivante la folie furieuse de Putin, osera-t'il rompre unilatéralement ses contrats de hydrocarbures avec l'Europe en exigeant l'encaissement en roubles et qui vendrait ces roubles en échange d'euros et dollars sinon l'Etat russe se demande-t'on?
Cette nouvelle menace de Putin confirme surtout qu'il aurait pu sanctionner l'Ukraine pour la guerre du Donbass en fermant ses pipelines la traversant, invoquant le cas de force majeure au lieu de se lancer témérairement une guerre fratricide et de perdition.
L'argument vaut de même dans le cas de l'encerclement par l'OTAN comme cause principale de la guerre, la majorité écrasante des hydrocarbures contractés incluant un partenaire de l'OTAN.
Putin kleptocrate-en-Chef a mal calculé son coup, il pensait soumettre l'Ukraine en une semaine d'opération militaire d'après les conseils de son service de renseignement dédié à faire risette au chef suprême.
Résultat après un mois d'invasion, son armée de 150 000 jeunes recrues, mercenaires tchétchènes et russes aguerris en Syrie où Putin a visiblement prémédité son coup, s'enlise et se voit décimée par les armes anti-tanks et anti-aériennes livrées par les européens et les états-uniens aux forces ukrainiennes.
Une armée démotivée par les défaillances de l'intendance., les défauts de ravitaillement et de versement des salaires aux officiers, sans compter la guerre fratricide entre peuples proches à plus d'un égard. On peut voir sur des vidéos de surveillance des soldats russes pillant des supermarchés à la recherche de ravitaillement.
Des soldats russes se rendent par centaines ou exécutent leur commandant, se retrouvent pris au piège dans leur colonne en rase campagne à la merci des armes occidentales manipulées pas les résistants ukrainiens.
Le moral des troupes russes est à zéro devant une offensive improvisée sur un objectif démesuré et la réprobation internationale quasi-unanime hormis les quelques clients dépendants comme la Syrie.
Putin vient de perdre le capital de sympathie qu'il avait acquis en vainquant l'Etat Islamique en Syrie, malgré l'opulence ostentatoire de l'oligarchie russe.
La propagande en est réduite a proclamer la réalisation de ses objectifs manifestement en contradiction avec la réalité du terrain, s'appuyant sur les affrontements acharnés pour la ville de Marioupol, une victoire à la Pyrrus.
L'armée russe en est réduite au bombardement d'altitude et l'artillerie lourde approximative afin de poursuivre son plan d'invasion, se rendant encore plus impopulaire dans la population et l'opinion internationale.
Putin comptait manifestement sur la passivité des démocraties et la dissuasion militaire conventionnelle et nucléaire, il s'est abusé de sa propre propagande, se croyant invincible et imaginant les occidentaux évoluant en cavalier seul comme lui, ne nous leurrons pas, l'alliance avec la Chine n'est que tactique, les dirigeants russes l'ont avant tout instrumentalisée au service de leurs objectifs.
Le kleptocrate s'est lourdement trompé. La guerre lui coûte au bas mot 20 Md $ par jour alors que ses hydrocarbures vendus aux européens lui en rapportent 1 Md. Tout cela ne compte guère devant l'absence cruelle de motivation de l'armée des oligarques en déclin.
La guerre est inflationniste la Russie en est à 2 % par jour, elle a des dettes à rembourser, son train de vie dépend étroitement de ses relations commerciales avec l'étranger, se retourner exclusivement sur la chine est illusoire et logistiquement impossible.
C'est la Russie qui s'est tirée une balle dans la tête avec cette opération improvisée. Les européens vont désormais tout faire pour limiter leur dépendance aux hydrocarbures russes. Les démocraties vont sortir revigorée avec éclat de cette crise, c'est du moins tout le mal qu on peut leur souhaiter.
Une cinglante dénonciation de l'instrumentalisation des singes blancs résidents en Chine dénigrant la cause désespérée des ethnies non Han au Xingjian.
Des guignols ethniquement européens résidents en Chine d'où ils émettent sur Youtube font le tour du marché Uìghur à Schengen puis visitent au Xing Jiang des familles non Han en récitant u script de scénario, étroitement surveillés par la sécurité du PCC Tour Operator de propagande officielle, . Le tout entrecoupés d'images satellites d'imposants établissements de rééducation situés à côté de champs de coton. La Chine tibétise le Xingjian sous la direction des mêmes cadres du Parti qui administrèrent le pays de Dalaï Lama.
Plutôt que oligarques ou satrapes nos quarante cleptocrates russes ont fait main basse non seulement sur les matières premières mais l'industrie, les services, les infrastructures issus de la privatisation de tout ce qui avait une valeur marchande le jour de la chute de Berlin, résultat de l'édification de 70 ans de socialisme en URSS.
Hydrocarbures, gazoducs, engrais, minerais, sidérurgie, métallurgie, pharmacie, mais aussi banque et finance, tout cela désormais reste aux mains d'une quarantaine de Kleptocrates qui n'ont pas créé d'entreprises mais recueilli la manne des privatisations puis administrèrent leurs affaires largement par l'entremise de compagnies occidentales.
ElMundo.es publie le résumé de 27 kleptocrates parmi les 37 présents à la réunion au Kremlin au préalable de l'invasion de l'Ukraine.
https://lab.elmundo.es/oligarcas-rusos/index.html
Les russes se retranchent derrières leur maîtrise aérienne et leur artillerie approximative pour miner le moral de la population et la résistance ukrainienne, toujours capable de détruire par missile un vaisseau russe. ancré dans le port de Berdyansk. Même avec cette maîtrise théorique du ciel, les russes en sont réduit à détruire systématiquement les infrastructures civiles telles que hôpitaux, établissements d'enseignements, salles de spectacles, scellant une inimitié millénaire. Alors que la Russie détient l'essentiel des leviers économiques ukrainiens par pipeline interposé, le dirigeant imbécile Putin à décidé de sacrifier le quart de l'armée russe engagée contre l'Ukraine, déclencher l'hostilité de l'opinion internationale et risquer son principal centre de profit constitué par les livraisons d'hydrocarbures à l'Europe.
Cependant les réactions européennes s'avèrent de la même veine en ne considérant pas l'arrêt même temporaire de l'approvisionnement en hydrocarbures russes, principale ligne de crédit à la guerre néo-impérialiste déclenchée par Putin. Plus de 2 milliards d'armement livrés où promis ainsi n'auraient pas alimenté une guerre européenne fratricide de plus. On ne cesse de voir à quel point les sanctions économiques s'avèrent dissuasives contre les Etats-voyous tels que la Corée du Nord, l'Iran et le Vénézuéla.
La dépendance énergétique de l'Europe envers la Russie reste le principal écueil à la résolution du conflit comme l'ont observés les dirigeants de l'UE. De là il s'avère avantageux de changer de fournisseur ne serait-ce que temporairement, en se tournant en partie vers le GNL états-unien et en s'engageant verss une politique à plus long terme en ce sens.
La Russie finance sa guerre à 20 Md $ par jour selon le Daily Mail, avec 1 Md $ par jour de hydrocarbures achetés par l'Europe, il y a comme un problème.
Voilà ma modeste opinion.
Les soldats russes de tout bord 'étripent au beau milieu de la population ukrainienne dans les centres urbains, réduisant à des décombres soixante dix ans de civilisation russe, urbanisme sillonné de réseaux en tout genre, le tout au nom d'on ne sait quel intérêt supérieur russe, le national-patriotisme devenu la nouvelle doctrine à la mode à Moscou.
Ils se trouve pourtant quelques plumitifs rabougris planqués derrière leur écran pour en redemander en comptant le score des soldats tombés au champs d'honneur pour une cause stupide entre toutes, celle du vieillard décrépit Putin.
Pendant que la classe politique prise au dépourvu se demande à quel saint se vouer.Avac Macron empêtré dans une crise sanitaire montée de toute pièce par le lobby pharmaco-medical, on passe d'une crise à la suivante convulsion.
Surement la fin de règne de Putin au Royaume des oligarques.
Comme Putin l'a dit les ukrainiens sont russes, cela ne l'empêche pas de bombarder les centres commerciaux de leur capitale Kiev.avec l'assentiment de sa clientèle française, jadis gravitant autour de l'officine d'information de l'Etat russe RT.com. Voiture-balai tdu journalisme français elle récupérait les laissés-pour-compte, les électrons libres-et-indépendants, les bouffeurs à tout les rateliers, les recalées de la promotion canapé, enfin une faune hétéroclite qui faisait son unique charme. Voilà pour les présentables, les autres se trouvaient parmi les écrivains maudits, activistes de l'ombre et forcenés du réseau. Les nostalgiques du IIIème Reich et ceux de l'URSS y trouvaient gîte et couvert pour peu qu'on se promettait de défendre l'Empire et pourfendre les néo-nazis ukrainiens en paroles.
De l'explosion de la supernova il reste une nébuleuse de sites internet financés anonymement, lire le sujet de leurs flatteries. Ils ont une ligne de budget sur le compte de la propagande putinesque alors pourquoi s'en priver.
Les armes secrètes de Putin se plantent au devant de la scène car elles excitent la curiosité de ses adversaires de l'OTAN occupés à maintenir l'équilibre de la terreur. Le monde des dinosaures ne tient que par la doctrine de terreur mutuelles sinon c'est l'hostilité comme dirait le poète Gilbert Bécaud.
Avec le tir du missile hypersonique russe Kinssal ils sont fixés, la Russie aurait bien un avantage, sans parler de la bombe thermobarique déployée dans le conflit.
Il faut dorénavant s'attendre à moins d'intransigeance de l'Ukraine envers la Russie et une contention de l'empire putinesque opérant davantage sur le plan économique, le temps de rééquilibrer la dissuasion mutuelle et si les marchés financiers le permettent.
L'OTAN a finit par trouver ce qu'elle cherchait en Ukraine, elle n'a plus rien à y faire.
Il est de retour sous une variante inattendue le virus du nationalisme, ce n'est plus le nationalisme contre l'internationalisme dérivé et retourné en globalisme, mais le chauvinisme pur et simple, le retour au tribalisme. Putine invente le nationalisme antifasciste en réinventant la guerre patriotique antinazie contre la pauvre Ukraine percluse de corruption et dépecée par les oligarques de tout bord.
En huit ans de guerre au Donbass Putine a préféré mener cinq ans de guerre en Syrie et envoyer des mercenaires en Afrique que faire respecter ses accords de Minsk dont il fait la pierre angulaire de l'invasion de l'Ukraine.
Tout juste si la faute n'en retombe pas sur les autres signataires de l'accord que la grande puissance régionale a ignoré jusqu'à une quinzaine puisqu'elle assure ne s'être pas interposée.
Le grand chef des oligarques russes a préféré lancer son arsenal sur le berceau de sa civilisation plutôt que recourir aux sanctions économiques dont il tient tout les leviers et se plaint tant quand elles se déchaînent maintenant contre lui et son empire.
Il parle d'une opération militaire dans laquelle il aurait perdu 7000 hommes selon le Pentagone, à se demander si tant d'incohérences ne signalent pas une perte significative de faculté intellectuelle du bientôt septuagénaire.
Putine n'a plus l'age d'un conquérant ni d'un reconquérant,, il a sacrifié une partie de son armée sans nécessité puisque des sanctions économiques auraient produit un meilleur résultat. Il ne fait que dilapider les matières premières russes pour s'acheter des applaudissements.
La principale difficulté à justifier une intervention militaire étrangère reste d'établir la preuve de violation la plus grave des droits de l'homme, d'où l'évocation par la Russie du génocide à l'encontre de la population du Donbass au cours d'un conflit régional comptant 15 000 victimes en huit ans.
Les précédents récents ne manquent pas: la Russie en faveur du gouvernement de l'Afghanistan en 1979, les E.U.A. menant une coalition contre le gouvernement de l'Irak en 1991 et 2003, l'OTAN contre le gouvernement de la Serbie en 1999 et contre celui de la Lybie en 2011.
La Russie en 1979 répondait à l'appel du gouvernement Afghan enclin au communisme, en 2022 elle répond au motif humanitaire de prévenir un génocide prétendument en cours dans la région frontalière du Donbass.
Au regard du nombre de victimes préalables à l'intervention des exemples précédents, la Russie serait fondée à intervenir mais une circonstance réfute cet argument, l'alternative des sanctions économiques à l'encontre de l'Ukraine portant sur la livraison exclusive d'hydrocarbures par la Russie.
Une intervention s'avérait inévitable pour sauver la population civile séparatiste de l'armée ukrainienne mais il aurait suffit qu'elle soit économique au regard de la dépendance de l'Ukraine envers la Russie.
Poutine en quête de reconnaissance internationale n'a pas effleuré cette alternative et passe dorénavant pour un Docteur Folamour. puisque son opération militaire se transforme en guerre quasi totale qui nous renvoie en avril 1945.
L'argument de la promesse de contention de l'OTAN face à la Russie reste irrecevable si ce n'est une fumisterie.
Celui de la proximité de lanceurs nucléaires dirigés contre la Russie quand elle en dispose de même vis-à-vis de l'OTAN apparaît bien faible aussi.
Pour Poutine il s'agit de la guerre de trop, sur un territoire sans commune mesure avec les précédentes opérations de pacification où du moins pour ses partisans il se couvrit de gloire militaire comme en Tchétchénie et en Syrie.
La débâcle russe se profile à l'horizon vu le coût prohibitif de cette guerre mercenaire, le manque de préparation et motivation de l'offensive, la défaite inenvisageable car les réparations de guerre seraient insurmontables,, un état d'esprit propice aux erreurs irréparables
En quinze jours l'armée russe combat déjà le dos au mur, face à la répudiation internationale quasi unanime. L'Union Européenne entre dans la danse en doublant sa mise d'armement, on parle d'ne brigade internationale de vingt mille hommes aux cotés de l'Ukraine.
Les lignes de front s'étirent et se dispersent, rendent incertain le ravitaillement des troupes, les forces aériennes subissent des pertes, les partisans occidentaux de Poutine deviennent fébriles, s'énervent , s'impatientent, les commentaires des analystes militaires vont bon train, les pronostics se retournent et les militaires réoccupent le devant de la scène.
La Russie affronte l'embargo économique de ses partenaires occidentaux après la décision intempestive de son vieillard autocrate d'intervenir dans un conflit interne à l'Ukraine par une invasion insensée.
L'Union Européenne s'engage dans une guerre d'attrition présumant de ressources dont elle manque cruellement comme les hydrocarbures et métaux rares dont la Russie regorge.
Les pays limitrophes payent le tribut de la passivité en ouvrant leurs portes aux réfugiés par millions. L'éternel réveil des nationalités en Europe orientale dégage un parfum sulfureux de conflits immémoriaux.
La conférencière disait en substance en 2015 que l'Ukraine a regagné le territoire de la principauté de Kiev fondée au bas moyen-age mais perdu les russes par ses mesures discriminatoires.
Conférence : La Russie et l’Ukraine, histoire partagée, mémoires divisées
Conférence: Le conflit au Donbass une semaine avant la guerre entre la Russie et l'Ukraine
Poutine a atteint sa date de péremption, il fut incapable de résoudre la crise en Ukraine depuis 2013, il le sera aussi à 69 ans, age canonique pour un politicien ce qui joue en défaveur des citoyens. Deux gérontes Poutine et Biden s'affrontent sur le territoire de l'Ukraine, le jeune escroc Zélensly résiste à l'assaut de l'étranger et le jeune Macron s'interpose.
Une armée a beau s'équiper des meilleures armes et compter les meilleurs soldats du monde, sans tête elle n'est rien et court à la catastrophe. Les pertes russes considérables en hommes, incommensurables en matériel et les dégâts infligés le confirment, au regard de l'exiguïté du territoire en cause les conséquences prennent un tour hors de proportion, planétaire.
Depuis la chute du mur il y a trente ans les E.U.A. s'efforcent de détacher l'Ukraine de l'aire d'influence russe , processus culminant lors de la première révolte dite orange de 2004.
L'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN fut envisagée dès la présidence Obama avec le Vice Président en charge des relations avec l'ex-république soviétique,. Son fils Hunter y fut membre du conseil d'administration d'une société commerciale d'énergie de 2014 à 2019,.
Si le successeur d'Obama et vainqueur de l'épouse présidentielle Hillary Clinton Donald Trump écarta l'adhésion en la jugeant provocatrice, en revanche il continua d'armer le pays européen sans toutefois intervenir dans le conflit du Donbass. En retour son homologue russe s'efforça de circonscrire le conflit sans faire plus de vague.
Entre-temps le 17 juillet 2014 un avion de Malaysian Airlines avec 298 personnes à bord dont deux-tiers de néerlandais fut détruit par un missile que les belligérants du Donbass s'accusent mutuellement d'avoir tiré, le vol MH-17. L'enquête concluant à la culpabilité russe, le gouvernement des Pays-Bas déposa plainte contre la Russie devant la Cour Européenne des droits de l'Homme en 2020. Depuis, il existe un contentieux international à l'encontre de la Russie préalable au conflit en cours.
Accusant son nouveau rival de conflit d'intérêt en Ukraine, le Président fut accusé à son tour de recourir aux ressources de l'administration à des fins électorales, affrontant une procédure de destitution sur la foi d'un appel téléphonique demandant au Président ukrainien d'enquêter sur les activités de la famille de son rival en Ukraine.
Pour ménager ses relations avec l'ombrageux prédécesseur du locataire de la Maison Blanche, le mandataire russe différa la résolution du conflit à sa frontière occidentale au point qu'une intervention exclusivement militaire fut jugée inévitable.
L'Ukraine se trouve au coeur d'un imbroglio entre les partis états-uniens Démocrat et Republican d'où il apparaît que l'actuel Président voie le conflit comme la continuation de sa querelle avec un rival, recevant à ce titre l'appui du parti à travers la ligne éditoriale des journaux favorables.
Aujourd'hui, l'ex-agent du KGB soviétique ne dispose plus de la complaisance de l'administration états-unienne et n'a plus l'age d'un conquérant. L'issue du conflit reste incertaine et entraîne une crise économique globale.
Les présidents français et ukrainien peuvent faire mordre la poussière à leurs homologues russes et états-unien dans la mesure où rien n'est joué, cependant ne nous leurrons pas, les livraisons d'armes à l'Ukraine précipitent un élargissement du conflit. Les E.U.A. en sont à trois milliards de dollars depuis 2014 dont un pour l'administration en cours, les européens promettent 450 millions d'euros supplémentaires et il s'avère douteux que l'armée russe continue à l'ignorer.
Le Président russe peut à tout moment démontrer ses armes de destruction massive non nucléaire comme entre autres la bombe thermobarique, sur qui la lancera-t-il et quelle sera la réplique de l'OTAN telles sont les questions.
Les inconditionnels du mandataire de Moscou, extrémistes de tout bord, ne jurent que par une guerre stupide entre russes. Le chef oligarque pourchasse désormais les nazis ukrainiens quand d'autres nazillons européens lui vouent une admiration sans borne. Il semble se situer dans une guerre d'un autre age, décidant de manière théâtrale la soi-disant opération militaire contre l'Ukraine sans pour autant cesser de lui livrer des hydrocarbures depuis le début des troubles.
Le dirigeant du Kremlin semble coupé des réalités et entraîner son entourage à sa perte. Il ne reste que l'attente de l'inévitable révolution de Palais.
Les conclusions des économistes se rejoignent, l'Europe s'est tirée une balle dans le pied en prenant parti dans la querelle, les banques françaises se révèlent les plus exposées à l'embargo contre la Russie.
La classe politique des pays démocrates entre en lice en réclamant la fin de la partie, les citoyens se mobilisent autour de slogans comme "Les croulants à l'hospice", l'age d'or des oligarques russes héritiers de l'URSS touche à sa fin.
Les E.U.A. disposent sur leur territoire de 25 laboratoires P4.
Le forum mondial de Saint-Petersbourg en juillet 2021 réunit 141 pays en proposant une alternative au Forum Economique Mondial de Davos.
Ces informations circulent depuis quelque temps et se voient régulièrement démenties par les sources officielles, Il est vrai que la Russie n'inclue pas cet objectif dans la propagande tout en restant notoirement familière avec ce type d'armement.
De fait il reste à démontrer qu'il existe des armes bactériologiques létales pour l'homme à ne pas confondre avec les armes chimiques. Il reste de même à démontrer que le COVID-19 soit une arme bactériologique létale non pas une foutaise pour faire tourner le commerce médical.
Poutine a dérapé, on ne se lance pas à 69 ans dans une guerre quasi-totale contre une de ses anciennes provinces voisines, il s'agit d'une recette de catastrophe assurée comme l'histoire l'a tant de fois démontré et l'age du capitaine finit par importer.
Au premier revers sérieux les généraux se retourneront contre celui qui a préjugé de ses capacités pour le déposer au prétexte de son age, cela si l'assemblée ne s'en charge pas auparavant dans une guerre loin de faire l'unanimité dans le peuple russe qu'on imagine stupéfait devant tant de stupidité.
Nous en sommes déjà officiellement à près de 600 militaires russes tombés au champs d'honneur en moins de quinze jours, or le peuple Russe finit par se lasser de l'interminable guerre d'Afghanistan notamment quand les insurgés tuèrent 500 soldats russes lors de l'attaque d'un convoi, ce fut le crépuscule de l'URSS.
A l'image de la Russie, après la chute de l'URSS l'Ukraine en déreliction tombe entre les mains de la pègre dédiée à dépouiller l'Etat en transférant les fonds détournés vers des paradis fiscaux, malversations dénoncées par la presse internationale.
La première crise de l'Ukraine en 2013 avait déjà pour origine le rapprohement avec l'U.E. que Yanoukovitch le Président impopulaire tourné vers Moscou avait refusé, déclenchant la révolte de Maiden où apparurent les milices bandéristes néo-nazies.
Les E.U.A. ont notoirement pour objectif de detacher l'Ukraine de la Russie, une stratégie ourdie dans les années soixante-dix par le conseiller présidentiel états-unien d'origine polonaise Brzezinski.
Macron se range au coté de l'énerumène qui en deux ans de pouvoir mène le pays à la guerre avec la Russie son meilleur allié.
En redoublant les sanctions prises après l'annexion de la Crimée, l'U.E. menée par Macron et manipulée comme une enfant par les E.U.A. va réussir à détourner le gaz que la Russie lui destinait vers la Chine, ne laissant aux pays européens d'autre alternative que s'approvisionner au gaz liquéfié états-unien plus cher.
L'U.E. outre-passe son mandat en décidant d'envoyer des armes défensives et offensives à l'armée d'un pays corrompu comme l'Ukraine, ce qui peut s'interpréter comme une déclaration de guerre contre une puissance nucléaire. Elle redouble l'infraction en intriguant pour interdire un média en règle avec les autorité et financé par le gouvernement Russe, ce qui ne va pas manquer de diviser la communauté des journalistes.
Asselineau tient un discours se rapprochant de Phillipot et du R.N. un parti en bon termes avec Poutine, ils forment le clan souverainiste avec le vent en poupe.
Macron n'a pas compris la crise entre l'Ukraine et la Russie et encore moins l'impact sur l'économie mondiale d'une Russie en guerre. Il serait le Daladier de 2022 si Poutine en était le Hitler, ce dernier avait bien envahi la Pologne en 1939 au prétexte que les allemands y étaient persécutés par les polonais à la manières des russes du Donbass par Kiev, mais la comparaison s'arrête là.
Poutine: enrage qu'une puissance d'outre-mer comme les E.U.A. prétende empêcher la Russie de régler ses conflits régionaux comme depuis le `premier tsar.
Macron ne se rend pas compte à quel point la Russie demeure l'un des moteurs de la mondialisation, échangeant constamment ses matières premières, produits manufacturés et services contre d'autres biens et services du monde entier. L'échec de l'intermédiation française a précipité la crise de l'économie globale, en commençant par les secteurs de l'énergie, le transport, la finance.Les sanctions contre la Russie en riposte à l'annexion de la Crimée engendreraient l'inverse de l'effet escompté. Renaissance de l'agriculture devenue première exportatrice de blé et chute de la dollarisation du commerce des hydrocarbures, la Russie s'enrichirait tout en rejoignant la Chine qui n'en demandait pas tant et consoliderait l'entente par son projet Route de la Soie. Ces sanctions seraient une aubaine pour la Russie et la Chine.
C'est oublier que le rapprochement avec la Russie sanctionnée place la Chine en porte-à-faux avec ses clients d'Amérique du Nord et d'Europe occidentale.. En fait il apparaît que les sanctions économiques ont fait commettre l'irréparable à la Russie contre son voisin et pays frère l'Ukraine.
Il existe bel un bien un cordon ombilical invisible entre la Russie et l'Ukraine que les anglo-saxons ont cru pouvoir trancher par des sanctions économiques, voilà le drame du Donbass.
L'histoire semble repasser les plat contrairement à l'adage..Le Royaume-Uni et la France furent les premiers après les E.U.A. à livrer des armes à l'Ukraine incitée par la Pologne à provoquer la Russie. La guerre se profilant à l'horizon pourrait s'appeler Seconde Guerre de Crimée tant les premières sanctions n'ont fait qu'entraîner les suivantes et rien à faire, l'indépendance de l'Ukraine reste toujours aussi insoutenable économiquement.
La popularité de Macron a pâti de son impéritie dans la crise sanitaire, au point que des rumeurs désobligeantes éclaboussent jusqu'à son épouse. S'il a réussi à coaliser l'U.E. contre l'intervention militaire des russes en Ukraine, même en retournant chez eux le dilemme ukrainien ne se voit pas réglé car il reste la cessation des exportations d'hydrocarbures russes pour plier l'Ukraine sans coup férir. Ukrainiens et russes sans chauffage en hivers s'exposent à un danger de mort, les ukrainiens dépendent de l'énergie fournie par la Russie, ils ne sont rien économiquement hors de l'intégration dans la Russie.
L'envoi d'armement notamment des avions de chasse à l'Ukraine par l'UE s'interprète comme un acte belliqueux par les dirigeants russes de même qu'exclure la Russie du système financier international relègue ce pays derrière un nouveau rideau de fer, alors que l'économie globale dépends du pétrole dont les russes fournissent plus d'un dixième.
L'Ukraine devînt un pays notoirement corrompu après la chute de l'URSS avec quelques oligarques accaparant l'héritage industriel russe conséquent, on peine a comprendre pourquoi l'U.E. décide soudain de lui envoyer des armes alors qu'elle n'a pas les moyens économiques de son indépendance.
L'U.E. et les E,U,A. échangent avec la Russie des invectives sur le ton nucléaire alors qu'ils ne sont en rien l'allié de l'Ukraine cette ancienne province russe.
La Russie reste la première puissance spatiale, elle n'agresse personne et ne réponds qu'aux attaques dont elle s'avère constamment la cible, depuis la Tchetchénie au Donbass en passant par la Géorgie et la Syrie..
Macron commet décidément bourde sur bourde.
Macron préfère s'aligner sut l'Ukraine sans avenir hors de l'intégration avec la Russie plutôt qu'avec la grande puissance ouverte sur l'Asie dirigée par Poutine . Tout cela après avoir plombé l'économie nationale en confinant inutilement et empoisonné son peuple en lui inoculant une substance toxique au seul bénéfice de l'industrie pharmaceutique.
Comme dans un pays du tiers-monde le Président recourt à un cabinet d'audit états-unien siégeant dans un paradis fiscal, l'état du Delaware, pour définir les politiques sectorielles de l'Etat. comme la santé publique s'avérant désastreuses.
L'Ukraine pilonne ses provinces du Donbass depuis huit ans au motif qu'elles réclamaient plus d'autonomie car traditionnellement tournée vers la Russie. Excédées les provinces ont proclamé leur indépendance sous protection russe, Kiev a redoublé ses agressions cherchant a régionaliser le conflit et parvenant à se gagner. les faveurs de Macron.
Macron s'immisce et prend parti dans une querelle russo-russe dans laquelle la France n'a rien à gagner, ni même l'Union Européenne. Tout cela ne va pas favoriser sa réélection.
Les E.U.A., le Royaume-Unis et la France livrent des armes à l'Ukraine en attisant la guerre, ce que Poutine ne manque pas de prendre en compte mais le Président Eusse peut compter sur des soutiens à l'étranger dans la classe politique et les médias en commençant par Donald Trump, sans parler de la France où toute une faction souverainiste a pris fait et cause pour la Russie y compris Zemmour.
Cependant Poutine n'avait nul besoin de recourir à la force pour plier l'Ukraine à la réalité économique de sa dépendance envers les hydrocarbures russes, il lui suffisait de couper les robinets de ses gazoducs et ses livraisons de produits pétrolier pour qu'elle revienne dans le giron de son ex-puissance tutélaire. Voilà l'occasion ratée par Poutine, une erreur inespérée qui permet aux dirigeants européens de sauver la face après leur calamiteuse prestation COVID
Poutine aurait fait plier l'Ukraine et évité la construction du gazoduc Nord Stream II en la privant de ses livraisons d'hydrocarbures mais il avait d'autres priorités comme l'intervention militaire en Syrie financée par ses ventes de gaz à l'Europe passant par l'Ukraine.
Après huit ans de guerre civile larvée et quatorze mille victimes entre partisans russes et ukrainiens, le Kremlin se voit contraint de recourir à la force contre l'Ukraine car ce pays inviable sans ses connexions avec la Russie ne cesse ses provocations.
Sauf que le moyen choisi de régler le différent s'avère le pire, cette manière russe de passer en force ne va pas lui attirer la sympathie du peuple dont il désire reconquérir le coeur.
Poutine va mener une guerre visant les infrastructures militaires afin de désarmer son adversaire, l'Ukraine ne peut compter que sur les mesures de rétorsion diplomatiques et commerciales des rivaux de la Russie mais seulement au point de ne pas léser leurs intérêts.
Les rivaux de la Russie ne disposent que d'une étroite marge de manœuvre due à leur dépendance envers les gisements d'hydrocarbures sous contrôle russe. Les alliés de la Russie, notamment la Chine en indélicatesse avec les rivaux du Kremlin, ne mesureront pas leur soutien au moins économique si le conflit s'envenime.
Si Poutine cesse les livraisons d'hydrocarbures, l'économie globale subira un choc pétrolier auquel elle ne pourra répondre qu'en paralysant ses importations notamment en provenance de la Chine ce qui induira une récession globale.
Le conflit menacera alors l'hégémonie financière du dollar à laquelle la Chine et la Russie ne font pas mystère de tenter.d'échapper, ce conflit semble l'occasion rêvée d'y parvenir.
Comme l'a souligné une intervenante lors la réunion hier du Conseil de Sécurité de Russie, ce pays n'a pas cessé les livraisons d'hydrocarbures à l'Ukraine après la révolte de Maïden en 2014 sous prétexte de ne pas interrompre les livraisons à l'Europe alors que l'approvisionnement énergétique de l'Ukraine dépend entièrement de la Russie. Le gazoduc Nord Stream II traversant la mer Baltique devait prendre la relève mais l'Allemagne vient de décider qu'il n'en était plus question après l'intervention des troupes russes au Donbass hier.
L'Ukraine atteint son but de stopper Nord Stream II que les E.U.A ne voyaient pas d'un bon oeil. L'ancienne république soviétique espère follement conserver l'approvisionnement énergétique russe dont elle ne peut se passer tout en menant une guerre civile larvée contre des rebelles soutenus par la Russie.
Le prochain coup de Poutine consiste à stopper ses livraisons énergétiques à l'Ukraine et ses alliés européens. L'Allemagne dépend à 20% des hydrocarbures russes, l'interruption des livraisons porterait un coup si dur à l'industrie européenne qu'elle fait face au dilemme de sacrifier son industrie ou accepter le retour de l'Ukraine dans le giron de la Russie.
Ils font irrésistiblement penser aux émigrés aristocrates fuyant la Révolution. Leur tâche consiste désormais principalement à cultiver leur lectorat pour des raisons légitimement commerciales, tâche incombant autrefois à leur éditeur.
Leur départ laisse comme un trou d'air au niveau du débat littéraire, fatalement car comme dans les Jeux Olympiques l'important pour commenter c'est de participer, même si leur discours ne laisse pas de faire mouche.
Dreuz Guy Millière from Dreuz Info on Vimeo.
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