Politique, histoire, économie et notes de lecture
par
R E P U B L I C O N E
Pour une banque centrale indépendante au service du peuple
Des occidentaux se rendant en ces contrées seraient vulnérables s'ils ne soignent pas une infection parasitaire courante. Il cite le cancer du colon en phase 4 de son épouse, á qui nous souhairons un prompt rétablissement.
Ce cas illustre l'envers du régime alimentaire crudivore et plus généralement la nécessité de cuire les aliments quand on voyage.
https://www.youtube.com/watch?v=D6Ah4IC4TLA
Un groupe de rock métalique newyorkais à succès des années 2010, Sick Of It All, énergique et bondissant.
Qu'un éclair de lucidité ait frappé Yvan le Terrible ou un conseiller lui ait rappelé les élections de 2024, il avoue publiquement ses doutes sur son avenir électoral et l'échec patent de sa mal nommée Opétation Spéciale, désastre sans paliatif que le gérontocrate aurait pu éviter en recourant aux sanctions économiques dissuasives comme couper le gaz, soit priver d'hydrocarbures l'Ukraine et l'Allemagne qui n'ont qu'à bien se tenir.
En lieu et place Putin s'est employé à raser les villes d'un tiers de la mère-patrie ukrainienne, celle du développement industriel tout azymut.
Et Macron dans tout cela? il n'avait qu'a faire respecter l'accord de Minsk signé de sa propre main par exemple en se contentant d'envoyer la troupe en compagnie d'autres signataires pour séparer les béligérants, mais s'est laissé piétiner par le soi-disant grand-frère états-unien soutenu par ses caniches britanniques depuis leur confortable position ultra-marine.
La piètre prestation du Président français mise en évidence par les razzias Marzouk forcera peu l'admiration des électeurs lors des prochaines élections, à priori une série d'erreurs inéspérées dans l'escarcelle du clan Lepen.
En démocratie à la différence du tennis quand l'adversaire sert la solution de facilité consiste à attendre patiemment ses points perdants.
La tactique du parti Hamas consiste à entrer en guerre contre l'État d'Israel afin d'alerter et mobiliser le monde arabe en sa faveur, témoin ses provocations immediates après le moindre cessez le feu.
Les gérontocrates s'attaquent de préférence aux femmes et enfants, Netanyahou 74 ans, Mahmoud Abbas 84, Biden 79, Poutine 70 ont mieux à faire que s'occuper de cinq millions d'assistés palestiniens. L'assistanat depuis 70 ans sous la tutelle de l'ONU désormais cause plus de problèmes qu'il n'en résoud.
Le rôle assigné aux palestiniens de légitimer les despotes arabes er iraniens ne résiste pas à l'usure bien qu'il accorde le statut convoité de réfugié au frais de la communauté imternationale sous l'egide de l'ONU.
L'Arabie Saoudite a besoin de bras dans son désert pour combler le fossé démographique face à l'Iran. Le Liban pâti des réfugiés apatrides comme des vingt ans d'occupation syrienne pour soutenir le terrorisme iranien contre l'ingérence militaire française et états-umienne. La France intervînt dans la guerre entre l'Irak et l'Iran en prêtant des avions de chasse à l'Irak en attente de livraison. En Syrie oú l'Iran mène le bal, minorité alaouite oblige, les réfugiés apatrides ne comptent guère plus.
Israel ne va sans doute plus tolérer de risque terroriste à ses frontières tout en questionnant l'opportunité d'un Etat Palestinien limitrophe.
Le drame de l'assistanat de masse se joue en attendant l'arrivée de l'hypothétique prochain Alexandre tranchant le noeud gordien.
La tension au Proche-Orient sert avant tout à réduire le déficit commercial occidental avec les monarchies pétrolières par le truchement des ventes d'armes, le ressort de toute cette histoire.
En finir avec l'assistance internationale en octroyant aux réfugiés la nationalité de leur pays de résidence tout en fomentant le developpement économique au Proche-Orient permettrait de soulager leurs maux pour commencer.
Les palestiniens, ces braves dindons de la farce, doivent quitter leur statut de réfugié.
Pendant qu'en Europe les banquiers financent la guerre d'Ukraine et au moyen-orient la Fed se charge de celle de Gaza. D'oú ces mélopées.
L'Etat d'Israel, parvenu à diviser une administration palestinienne encline à se satisfaire d'un statut d'assisté indéfini, se permet de répliquer du haut de ses trois millions de citoyens musulmans face à un non-État Palestinien en voie de perdition.
Il est à parier que les commentaires défavorables de Pedro Sanchez Président tournant d'une Union Européenne inféodée à Washington n'y changeront rien.
Un Sanchez rayonnant qui vient de jetter aux orties son adversaires des élections générales Feijo incapable de nouer une alliance avec trois autres partis de droite dont deux indépendantistes malgré le bilan calamiteux de la coalition gauchiste au pouvoir: confinement, démographie en berne, immigration, faillite financière. Malgré tout Sanchez prend de vitesse ses partenaires d'une U.E. tiraillée à hue et à dia entre courants politiques à polarisation croissante certes mais sous la ferme tutelle du pouvoir bancaire.
Le Président Macron demeure en indéfinition comme tétanisé par les récents pillages et incessants faits divers liés aux incivilités qui font le lit de l'extrême-droite quand l'Élysée paraît impuissant devant le conflit en Ukraine menaçant de déstabiliser l'économie du continent, laissant le champ libre aux menées des anglo-saxons qui s'en donnent à coeur-joie, ivres de la liberté retrouvée du Brexit.
Le Decamerron rend bien une tête au nabot de cirque Zelenski qui se laissa convaincre par le duo irrésistible du Premier Ministre britannique Johnson et du Président des E.U.A Biden pour raser son propre pays sous les bombes russes. Le Decameron le félicite en l'encourageant de poursuivre dans cette voie pour la postérité.
Au Royaume-Uni la Reine-Mère détient le droit de priver l'héritier de la Couronne si ce dernier s'écarte de la règle anglicane qui fut un temps de ne pas reconnaître le divorce car la monarchie se plie au droit cannonique du culte local. Si Feu la Reine Elisabeth II avait suivi la regle lui ayant attribué le trône il n'y aurait pas de Charles III ou Anne II tout deux frappés par le divorce, elle a donc préféré composer plutôt que terminer sa lignée monarchique.
Sans compter que le culte fut institué pour permettre au Roi Henry VIII de divorcer de Catherine d'Aragon puis se remarier avec Anne Boleyn.
Avec un Premier Ministre britannique hindou et un Premier MInistre d'Ecosse musulman, les Windsor se tiennent sur leur garde notament du coté des héritiers car en Angleterre un changement de dynastie est vite arrivé.
Putin poursuit sa guerre fratricide contre l'Ukraine entamée en 2014 après la déposition de l'homme lige du Kremlin à Kiev, le Président Yanukovitch menant une vie de satrape en compagnie des oligarques quand le peuple se serrait la ceinture à défaut d'émigrer. Ce fut une révolte contre la corruption endémique que l'indépendance a libérée telle la boîte de Pandore, incarnée par une présidence soucieuse d'appliquer le modèle de spoliation russe.
Depuis, la Russie a annexé la presqu'île de Crimée et reconnu deux territoires séparatistes du bassin du Don. La Russie ne se résout guère à perdre l'ex-république soviétique de 44 millions d'âmes alors que la Fédération souffre d'une crise démographique accentuée par l'effondrement de 1991. C'est du moins l'avis d'auteurs et professeurs britanniques d'études slaves comme Mark Galeotti.
Au Proche-Orient deux foyers religieux chrétien et juif, tentent de survivre au guerres israëliennes entraînant cinq millions de réfugiés apatrides pour la plupart musulmans. Putin fut réélu en 2012 en se présentant comme le protecteur des chrétiens d'Orient comme jadis Louis XIV. En Syrie, victorieux contre l'Etat Islamique fanatique et ennemi des ennemis chiîtes d'Israël, le dirigeant russe tînt parole et gagna en popularité globale.
En Ukraine le nouveau Président juif Zelenski bénéficie du soutien de l'oligarque coreligionnaoire Kolomoisly, résident d'Israêl, enrichi sur les dépouilles de l'Ukraine soviétique et ne rechignant pas à investir dans les milices anti-russes.
Le peuple ukrainien non averti des effets secondaires du système démocratique se retrouve embringué dans une querelle venue du Proche-Orient et implantée à Kiev. Depuis la victoire militaire de Putin en Syrie, la Russie se hisse au niveau d'influence de l'URSS au seuil des années quatre-vingt mais le coût du retour sur scène s'impute à la guerre fratricide, piège tendu par une administration états-unienne aguerrie par les années de guerre froide.
Le protecteur états-unien d'Israël, usé par trente ans d'intervention militaire au Moyen-Orient se replie sur l'Europe pour se consolider, quelque peu remis en question par l'essor de la Chine, pas moins fomenté par Washington.
Dépité, Putin se replie sur sa nostalgie du monde bipolaire d'avant l'effondrement, panoplie complète avec figurants nazis à insignes à la clef mais ne convainc que la clientèle payée rubis sur l'ongle, d'où la nécessité de maintenir contre vents et marées le commerce des hydrocarbures avec les nations alliées de l'Ukraine.
Une mise en scène de Putin payée par le sang ukrainien et russe, un pari fou de redevenir une puissance idéologique quoique dirigée par une bande d'oligarques sans scrupules.
La guerre en Ukraine s'avère une perte nette pour le continent européen dont se réjouissent déjà ses concurrents économiques. Au lieu d'éviter la destruction d'un autre pays d'Europe après la Yougoslavie, l'Union Européenne arme un des belligérants d'un conflit qui la laissa longtemps indifférente.
Macron aurait dû être battu dès le premier tour par les deux alliances de gauche et de droite souverainiste mais la médiocrité de nos politiciens vivant grassement aux frais de l'Etat en a décidé autrement, les têtes de listes refusant de descendre de leur piédestal afin d'avoir la moindre de chance de gagner.
Suite logique de catastrophe typique de Macron, après la jacquerie des Gilets Jaunes, le confinement nul et non avenu, le gouffre de la dette, l'économie en lambeaux, nous en sommes à la confrontation avec la Russie puisque l'Union Européenne a décidé de livrer des armes à l'Ukraine tout en versant à Moscou 41 Md d'€ contre ses hydrocarbures depuis le début du conflit. L'UE schizophrène une main sur le fouet , l'autre sur la tirelire.
Putin aurait pu couper le gaz et le pétrole à l'Ukraine depuis longtemps cela aurait évité la destruction de l'ex-république soviétique mais cela aurait signifié aussi de perdre temporairement la manne des euros, le Kremlin à donc attendu vainement un arbitrage international du conflit au Donbass puis est passé à l'offensive afin de donner une leçon militaire à l'Ukraine accessoirement en récupérant la partie utile économiquement.
Macron se voit reconduit avec un bilan négatif notamment son incapacité totale à anticiper la crise bien visible aux marches de la Russie. Il contente les oligarques du cru dont la fortune dépend des commandes de l'Etat et de la discrétion des médias dont ils détiennent la majorité des parts, situation équivalente à mesurer la température sans thermomètre.
Cependant Macron remporte la palme faute d'adversaires à la hauteur puisque le Président a démontré son habileté à nouer des alliances, ne trouvant personne à sa gauche il trouve de quoi se faire réélire à sa droite proche, toute une question de mesure et une opportunité de survivre pour LR..
Lamentable numéro habituel de la clown de télévision Lepen entièrement subventionnée par le Trésor Public. A sa décharge, elle nous a sauvé du rance Mélenchon ce n'est pas rien.
Cependant Macron aiguillonné par le Royaume-Uni et les E.U.A. nous a déjà entraîné dans un conflit ouvert contre la Russie que Mélenchon ou Lepen éviteraient sans doute d'attiser s'ils étaient Président. Après tout Poutine demandait seulement: que l'Ukraine cesse de considérer ses citoyens russophiles comme persona non grata dans leur propre pays. Le russe aurait pu couper le gaz et la manne européenne par la même occasion mais l'indifférence de l'Ouest à son égard a forcé le destin.
L'histire montre que l'élection du Président d'un pays comme la France se confie non sans risques au suffrage universel. Pour régler la crise russe de manière diplomatique, Macron s'avère le moins bien placé car notoirement immature, inexpérimenté et affichant des résultats catastrophiques dans les postes officiels qu'il a occupé successivement, diluant invariablement sa responsabilité dans des circonstances atténuantes.
Zemmour lui-même eût été un meilleur ambassadeur de la paix en Ukraine à en juger par ses prises de position conciliantes avec la Russie.
La diplomatie de Macron quand à elle se résume à livrer des armes gratuitement à l'Ukraine ce qui revient à désarmer son propre pays. Le citoyen se demande à quoi bon s'occupaient depuis cinq ans les ambassadeurs dans les pays belligérants puisque l'exécutif n'a rien anticipé.
Le rance Mélenchon s'est lui-même éliminé en se refusant à établir un pacte avant le premier tour avec les partenaires de sa famille politique notamment le PS et le PCF avec lesquels il serait parvenu au second tour, du moins en théorie. Il a préféré ne compter que sur lui-même en proposant une assemblée constituante fumeuse à la vénézuélienne. Sa stupidité crasse indigne du Parti Socialiste de François Mitterrand, doublée d'inexpérience dans l'administration territoriale au cours de décennies de représentation politique a rendu un fier service à LRM.
L'aigrie Lepen, décidément imprésentable, confuse, abandonnée par les cadres politiques de quelque valeur l'un après l'autre, repliée sur le clan familial, inexpérimentée en administration territoriale après des décennies de militance politique, son obsession monomaniaque de l'immigration, ouvrent un boulevard à la réélection triomphale de Macron.
Les principaux adversaires de Macron apparaissent soudainement comme les apparatchiks abonnés aux subventions de l'Etat qu'ils sont, soit des parasites du système politique dont ils vivent grassement sans rien offrir en retour puisqu'ils se dispensent d'administrer. Le vote Mélenchon ou Lepen apparaît tel un vote de désespoir d'un électorat retourné, victime d'une globalisation tout azimut qui lui offre pourtant le confort matériel à profusion.
En revanche l'expérience concrète de Macron accumulée en si peu d'années en fait un candidat largement plus rassurant en ces temps de folie-Poutine, capable de trouver des alliances avec le ralliement de la droite républicaine malgré les erreurs que son gouvernement a reconnues à propos des gilets jaunes et de la crise sanitaire.
On voit poindre ainsi une certaine amélioration sur le front économique et Macron s'est positionné sans équivoque contre l'invasion insensée de l'Ukraine par la Russie. Le recours aux cabinets d'audit, si critiqué par l'opposition, se justifie par leurs compétences complémentaires à celles de l'Etat, malgré les dérapages indéniables.
Onze adversaires incapables de s'allier avant le premier tour donnent à Macron un avantage tactique amplement mérité et incontestable. Moralité, Macron pulvérisera sans doute Lepen ce soir au débat.
Lepen a battu Mélenchon à la régulière, excellente nouvelle certes, mais reste incapable de forger les alliances nécessaires pour vaincre le sortant. Bardella en passe de devenir le Salvini français ne démontre pas l'étoffe de sortir du rôle d'employé de la famille Lepen.
Il ne donne pas non plus dans la demi-mesure, avec lui la solution à un probklème reste à priori militaire, le complexe militaro-industriel Deus-ex-Machina touours à portée de main.
Donc Biden pour sauver le Monde devrait fournir toutes les armes dont l'Ukraine a besoin pour repousser l'envahissur; facile à dire à 9000 km de Moscou.
Dreuz Guy Millière from Dreuz Info on Vimeo.
L'Union Européenne ne veut surtout pas risquer ne serait-ce qu'une partie minoritaire de son précieux approvisionnement en hydro-carbures pour sauver la vie de quelques milliers de civils ukrainiens et l'Ukraine de l'anéantissement de son infrastructure urbaine.
Putin à déjà gagné son pari de faire manger à l'U.E. son chapeau. Elle s'est déconsidérée aux yeux du monde entier, a plié sous le bras de Putin, vient de démontrer qu'elle n'était que du vent ou plutôt Zelenski vient de le démontrer.
A moins que ce ne soit l'Allemagne transie de peur à l'ouïe du cri de guerre "Sus au Nazi comme en 45" poussé par Putin. Voilà tout le secret de la victoire de Putin, il sait l'Allemagne pieds et poings liés par l'OTAN, elle ne bouge pas car elle ne le peux pas et donc il en profite. Tu parles d'un coup de maître! La lâcheté de cette posture signifie qu'il n'y a rien à craindre de Putin puisqu'il sait avancer en terrain non miné. De fait Peskov a déjà démontré que si la Russie avance à tâtons, Putin l'allemand sait où il va.
Ou Biden libère l'Allemagne une fois pour toute et celle-ci retrouvera ses alliés naturels ou Biden devra s'y substituer militairement, du moins si les E.U.A. souhaitent conserver leur rang.
Plus que janais l'espagnol Josep Borrel a raison, commençons par boycotter tout le pétrole de Putin en espérant que le reste du monde emboîte le pas.
Pour priver Putin de la rente versée par l'EU contre ses hydrocarbures, il y a lieu d'une part de changer de fournisseur pétrolier comme le préconise M. Josep Borrel le commissaire de l'UE aux affaires étrangères. Cette opération nécessite de détourner vers l'Europe le pétrole du Golfe Persique acheté par la Chine qui n'en n'aurait plus besoin si d'aventure les E.U.A. et l'U.E. décrétaient l'embargo contre la Russie et la Chine afin d'arrêter la guerre de Putin.
D'autre part afin de compenser la fermeture des pipelines de gaz russe vers l'UE, les réacteurs français en maintenance seraient redémarrés pour la circonstance. La France investirait alors davantage dans la maintenance et rénovation de ses réacteurs pour compenser l'arrêt de la livraison de gaz russe à l'Europe.
Le ralentissement temporaire de l'appareil industriel germanique vaut bien l'éloignement de la perspective d'une guerre nucléaire contre la Russie. L'Allemagne devrait se convaincre que Putin mise son va-tout sur la cupidité capitaliste, qui fournit la corde pour se faire pendre comme disait Lénine.
Il s'agit de refuser de sacrifier l'Ukraine à l'obsession Allemande de ne pas renforcer la France à défaut de l'affaiblir. Il s'agit de refuser le chantage nucléaire permanent de Putin le sénile.
Autre pointe d'humour sur les partis de la lutte des places. Il annonce s'abstenir au second tour par cohérence tout comme Zemmour quand il appelle à voter RN. Par contre en quittant le PCF, il redevient l'électron-libre évanescent seul représentant de lui-même au grand soulagement de ses potentiels adversaires, alors qu'il lui était facile, du moins en paroles, de chasser les marchands du temple.
Le contrôle étroit des médias par le pouvoir oligarchique doublé de l'étanchéïté linguistique moyenne du citoyen russe arrivent à obtenir un semblant de soutien par l'armée qui paye aujourd'hui le prix du sang les frasques des oligarques. On ne s'étonnera guère si un général vient y remettre bon ordre en déposant Putin.
Jusqu'à quel point l'armée russe soutien l'édifice oligarchique telle est la question, à moins que hormis l'Ukraine aucun pays ne souhaite risquer son approvisionnement en hydro-carbures russes. Dans ce cas la seule menace sur la Russie viendrait des cosaques du Don puisqu'ils ont déjà fait mordre la poussière à l'ours corrompu.
Les fondations de la Russie semblent vermoulues par la corruption capitaliste. On ne sait jusqu'à quel point Putin le pense et intègre le paramètre dans son bras de fer avec l'OTAN. Putin parie que l'occident s'avère plus corrompu que la Russie ou du moins le croit et Putin bluffe.
Putin se voit condamné à l'unanimité hormis une poignée de clients abonnés pour l'invasion insensée et criminelle de l'Ukraine.
L'entrevue permet de mesurer le fossé diplomatique antre la Russie et la partie occidentale. Putin a entrepris de détruire le pays dont une partie significative de la population lui est favorable, il tente de réprendre une ville du Donbass, Marioupol, en la détruisant à 90 %.
Putin, cancéreux, sous l'emprise de médicaments, maniaque sanitaire, a perdu le sens des réalités, n'a plus l'age ni la santé d'un conquérant.
L'entrevue dévoile l'état d'esprit et les erreurs d'appréciation de la sphère dirigeante, entièrement prévisible. Elle rejette la responsabilité de la guerre sur l'occident sous prétexte qu'il aurait fait défaut sur on ne sait quelle responsabilité dont il serait investi à l'égard des pro-russes.
La sphère dirigeante russe refuse la proximité de OTAN tout en l'accusant de ne pas empêcher la guerre larvée du Donbass!
Réponse typquement irresponsable soviétoïde, à la différence qu'elle émane de nababs rendus richissimes grâce au talent occidental des affaires. La technologie occidentale les a rendus puissants mais ils n'en sont que plus dépendants.
L'entrevue éclaire les deux positions antagonistes anglo-sasxone et russe, elle mérite d'être consignée en détail. L'OTAN n'est qu'une organisation défensive qui agit dans le cadre du droit dans la mesure où il existe dans les relations internationales. La légitimité du pouvoir occidental dérive de la démocratie formelle dont la liberté de la presse n'est qu'un signe parmi d'autres. Les pouvoir russe et chinois dérivent de révolutions et de coups d'Etat. Ils sont régulièrerment convaincus de propagande mensongère. En réponse à la liste de mensonges russes que le journaliste britannique égraine, Peskov répond au premier, à propos du vol MH17, en rejettant la responsabilité sur la partie Ukrainienne argumentant que la partie russe ne fut pas entendue durant le procès.
L'impression générale demeure que les russes ont conscience d'avoir commis une grosse bévue et ne savent pas comment sortir du pétrin où il se sont mis.
Les sociétés d'audit, défrayant régulièrement la chronique pour leurs pratiques d'escroquerie et d'évasion fiscale comme McKinsey, s'avèrent des attrape-nigauds dont la stratégie commerciale se réduit à valoriser les C.V. de ses employés pour des prestations d'audit sans obligations de résultats. Audit signifiant tout et n'importe quoi, ce qui semble bon au client de formuler.
Ils sont vus avec suspicion dans le secteur privé, au fait des procès retentissant tel celui d'Accenture ex-Arthur Andersen dans les années 90. Dans le secteur public le recours à leur service se constatait plus couramment dans les pays en voie de développement faute d'expertise locale. Grillés dans le secteur privé, leurs commerciaux se rabattent désormais sur les gouvernements dirigés par des naïfs comme Macron et Hollande, après que Sarkozy ait amorcé la pompe pour sa propagande politique afin d'évincer Chirac en stigmatisant les technocrates de l'ENA, passée en pertes et profits collatéraux.
Macron a succombé à la mode des consultants privés dans l'administration publique, en cédant à la facilité, lesté de sa propre incompétence, flagrante. L'opposition politique, la presse, la cour des comptes, le Parquet National Financier, ne s'en sont émus qu'une fois le trou béant creusé dans le Trésor Public par les vautours de l'audit.
Pour couronner l'affront, il s'avère que ces sociétés appliquent leur expertise en évasion fiscale à leur propre comptabilité, en esquivant l'impôts par le truchement des prix de transferts, dénoncée en long et en large au sein de U.E. Nouveauté , elle passe aussi par le paradis fiscal états-unien, l'Etat du Delaware.
Les troupes de Putin le chef de la kleptocratie russe se livrent à des atrocités et au pillage sur les civils ukrainiens. Violer les femmes devant leurs enfants après avoir exécuté leur mari et volé leurs objets de valeur se rapproche plus de la razzia djihadiste que du comportement attendu d'une armée supposément européenne. C'est pourtant l'accusation des victimes civiles survivantes des troupe russes.
Des manipulations d'information fusent de toute part mais la dévastation infligée par l'armés russe de même que l'acharnée résistance ukrainienne restent une évidence béante. L'Europe s'appauvrit dans une guerre fratricide de plus, vingt-deux ans après la guerre de Serbie.
Les troupes russes sont mal payées au point de faire les poches des civils, leurs lourdes pertes entraînent typiquement les représailles sanglantes sur les mêmes civils. L'armée russe apparaît en défaut d'encadrement, livrée à elle-même, celle d'un vieillard décrépi et malade qui ne contrôle plus rien et ne compte que sur le flux financier généré par ses pipelines pour se maintenir à flot.
Il y a bien une névrose du Président russe derrière la crise, son cancer de la thyroïde, l'élan mystique attisé par le renouveau orthodoxe, l'aveuglement par la richesse pétrolière, la proche reconstitution du mythe de la grande Russie, semblant désormais partir en fumée.
Ce qui alors n'était alors qu'insultes et crachats se convertit le 16 février en la mort accidentelle d'un jeune homme renversé par un tramway en fuyant une bande d'agresseurs, des racailles qui le rouaient de coups. La vidéo n'est remontée que ces derniers jours.
La victime portait une kippa et les agresseurs s'avèrent les suspects habituels musulmans. Rien de tel pour tâter la convivialité de l'indésirable islamiste mais pour LR, LRM, PS, PCF etc etc, un respect non réciproque reste dû à leurs coutume et superstition pour ne pas décourager l'électeur des Tarterêts, oxymore.
Contre lui se dresse le bataillon des fonctionnaires, bureaucrates oisifs abonnés aux pack syndicalisme-parti gauchiste, les derniers à s'abstenir de voter. Zemmour parait suffisamment fort pour vaincre le vote inertiel sur le candidat sortant, il a le cran de s'affirmer comme le principal rival du favori en supplantant deux partis de gouvernement. Un candidat sortant qui a mieux à faire qu'une campagne électorale, esquivant manifestement les coups, présentant un bilan troué par les scandales, l'un toujours pire que le précédent.
Valérie Pécresse-Soupline n'a aucune idée du rejet que les positions conciliatrices de son parti sur l'imigration inspirent à tout ce que l'électorat compte de non-gauchistes.
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En réponse aux bombardements par l'Ukraine de deux dépôts de carburants contrôlés par les russes, la raffinerie majeure du centre de l'Ukraine à Kremenchuk et une autre à Odessa furent détruites aujourd'hui par missiles.
Les pertes militaires si elle sont équivalentes en armes et personnel, s'avèrent nettement en défaveur de l'Ukraine proportionnellement, Quand aux dégâts civils, la Russie sort indemne de la guerre quand l'Ukraine voit son infrastructure industrielle ravagée, comme celle de la Serbie en 1999 détruite par 78 jours de bombardements de l'OTAN sous la botte états-unienne.
L'Ukraine s'avère le deuxième pays européen à l'industrie détruite en 23 ans dans les remous de la fin de la guerre froide en 1990.
L'Ukraine à vu son complexe militaro-industriel partir en fumée, une de ses principales sources d'exportation. Les troupes russes se retirent avec des lourdes pertes en dévoilant les atrocités commises sur les civils comme autant de crimes de guerres. L'Ukraine voit Marioupol ville balnéaire de 100 000 âmes réduite à un tas de décombres.
Les deux derniers présidents ukrainiens, les anti-russes Porochenko et Zelensky aussi corrompus l'un que l'autre, cherchèrent, provoquèrent pendant huit ans Putin l'ex-officier du KGB qui tient à sa botte les quarante kleptocrates russes et ils l'ont trouvé.
Aiguillonnés par la CIA et Cie ils ont crus avoir carte-blanche contre la Russie, rappelant 1939 quand les Polonais poussés par les britanniques contre l'Allemagne subirent la double invasion de Hitler et Staline, sauf que l'Ukraine n'avait aucune certitude d'être défendue par ses nouveaux amis de l'OTAN. Le pays fut l'enjeu perdu d'un pari stupide des kleptocrates ukrainien financiers des diverses milices paramilitaires à l'origine de la révolte Euro-Maiden de 2014.
La démocratie au début fait toujours des dégâts. Les électeurs ont tendance à voter pour le plus démagogue en l'occurrence un acteur juif du genre comique de plateau de télévision dont l'incongruité interpellait l'opinion internationale. Zelenski bénéficie dy soutien des kleptocrates, maintenant ruinés par la guerre,son nom se trouve dans les Panama Papers le registre du blanchiment d'argent sale..
D'ores et déjà la vulnérabilité des nations industrielles comme l'Ukraine, en particulier sur les sires pétro-chimiques s'avère digne d'attention. Raison supplémentaire de reconsidérer leur place dans l'économie car seule l'arme nucléaire aurait pu dissuader Putin d'attaquer l'Ukraine.
Msrioupol, ville balnéaire du Donbass censée pencher vers la Russie n'a pas pour autant échappée à sa grosnysation par les bombardiers et artillerie russes. La propagande bat son plein, un trou béant dans le toit du théâtre où se réfugiaient des civils n'empêche pas les Russes de l'imputer à la défense ukrainienne. En réalité les russes imputent leur échec à la présence d'un soldat ukrainien derrière chaque civil, ce bouclier humain. Donc ils peuvent bien raser. la ville russophone. Les observateurs indépendants encore sur place ne cessent de démentir la désinformation russe.
Marioupol la ville de 100 000 habitants réduite à des décombres par la grande puissance kléptocratique russe en guerre contre son frère-ennemi l'Ukraine, pillée par ses propres kleptocrates richissimes, telle est situation si injuste que nulle réparation sera désormais suffisante.
Putin avance que sa guerre serait préventive à une offensive prochaine de Kiev sur le Donbass séparatiste.. En somme les Ukrainiens tentent de reprendre le contrôle de leur territoire à l'image de la Russie envers la Tchétchénie en 1999, Putin tâtant l'effet de sa propre médecine.
La Russie et l'Ukraine deviennent comme Cain et Abel.
Question suivante la folie furieuse de Putin, osera-t'il rompre unilatéralement ses contrats de hydrocarbures avec l'Europe en exigeant l'encaissement en roubles et qui vendrait ces roubles en échange d'euros et dollars sinon l'Etat russe se demande-t'on?
Cette nouvelle menace de Putin confirme surtout qu'il aurait pu sanctionner l'Ukraine pour la guerre du Donbass en fermant ses pipelines la traversant, invoquant le cas de force majeure au lieu de se lancer témérairement une guerre fratricide et de perdition.
L'argument vaut de même dans le cas de l'encerclement par l'OTAN comme cause principale de la guerre, la majorité écrasante des hydrocarbures contractés incluant un partenaire de l'OTAN.
Putin kleptocrate-en-Chef a mal calculé son coup, il pensait soumettre l'Ukraine en une semaine d'opération militaire d'après les conseils de son service de renseignement dédié à faire risette au chef suprême.
Résultat après un mois d'invasion, son armée de 150 000 jeunes recrues, mercenaires tchétchènes et russes aguerris en Syrie où Putin a visiblement prémédité son coup, s'enlise et se voit décimée par les armes anti-tanks et anti-aériennes livrées par les européens et les états-uniens aux forces ukrainiennes.
Une armée démotivée par les défaillances de l'intendance., les défauts de ravitaillement et de versement des salaires aux officiers, sans compter la guerre fratricide entre peuples proches à plus d'un égard. On peut voir sur des vidéos de surveillance des soldats russes pillant des supermarchés à la recherche de ravitaillement.
Des soldats russes se rendent par centaines ou exécutent leur commandant, se retrouvent pris au piège dans leur colonne en rase campagne à la merci des armes occidentales manipulées pas les résistants ukrainiens.
Le moral des troupes russes est à zéro devant une offensive improvisée sur un objectif démesuré et la réprobation internationale quasi-unanime hormis les quelques clients dépendants comme la Syrie.
Putin vient de perdre le capital de sympathie qu'il avait acquis en vainquant l'Etat Islamique en Syrie, malgré l'opulence ostentatoire de l'oligarchie russe.
La propagande en est réduite a proclamer la réalisation de ses objectifs manifestement en contradiction avec la réalité du terrain, s'appuyant sur les affrontements acharnés pour la ville de Marioupol, une victoire à la Pyrrus.
L'armée russe en est réduite au bombardement d'altitude et l'artillerie lourde approximative afin de poursuivre son plan d'invasion, se rendant encore plus impopulaire dans la population et l'opinion internationale.
Putin comptait manifestement sur la passivité des démocraties et la dissuasion militaire conventionnelle et nucléaire, il s'est abusé de sa propre propagande, se croyant invincible et imaginant les occidentaux évoluant en cavalier seul comme lui, ne nous leurrons pas, l'alliance avec la Chine n'est que tactique, les dirigeants russes l'ont avant tout instrumentalisée au service de leurs objectifs.
Le kleptocrate s'est lourdement trompé. La guerre lui coûte au bas mot 20 Md $ par jour alors que ses hydrocarbures vendus aux européens lui en rapportent 1 Md. Tout cela ne compte guère devant l'absence cruelle de motivation de l'armée des oligarques en déclin.
La guerre est inflationniste la Russie en est à 2 % par jour, elle a des dettes à rembourser, son train de vie dépend étroitement de ses relations commerciales avec l'étranger, se retourner exclusivement sur la chine est illusoire et logistiquement impossible.
C'est la Russie qui s'est tirée une balle dans la tête avec cette opération improvisée. Les européens vont désormais tout faire pour limiter leur dépendance aux hydrocarbures russes. Les démocraties vont sortir revigorée avec éclat de cette crise, c'est du moins tout le mal qu on peut leur souhaiter.
Une cinglante dénonciation de l'instrumentalisation des singes blancs résidents en Chine dénigrant la cause désespérée des ethnies non Han au Xingjian.
Des guignols ethniquement européens résidents en Chine d'où ils émettent sur Youtube font le tour du marché Uìghur à Schengen puis visitent au Xing Jiang des familles non Han en récitant u script de scénario, étroitement surveillés par la sécurité du PCC Tour Operator de propagande officielle, . Le tout entrecoupés d'images satellites d'imposants établissements de rééducation situés à côté de champs de coton. La Chine tibétise le Xingjian sous la direction des mêmes cadres du Parti qui administrèrent le pays de Dalaï Lama.
