lundi 2 novembre 2020
vendredi 30 octobre 2020
Faillite de la médecine académique, pandémie de carton-pâte, vieillissement de la population
lundi 12 octobre 2020
samedi 3 octobre 2020
Pandémie de confinement
S'il y a une pandémie c'est celle du confinement.
La pandémie de confinement repart de plus belle, il s'agit de montrer à quel point le gouvernement veille à la santé du citoyen jusqu'à l'ultime sacrifice de l'économie nationale s'il le faut.
Ce fut d'abord Guiseppe Conte le président du conseil d'Italie au prétexte d'une poussée de mortalité chez les octogénaires, il apitoyait ses partenaires de l'Union Européenne pour obtenir des subsides finançant l'immigration illégale originaire d'Afrique, en continuation de la politique de son adversaire socialiste Renzi.
Puis ce fut au tour de Macron à court d'inspiration s'empressant d'emboîter le pas de l'italien, puis vint Sanchez sautant sur l'aubaine de monter une mise en scène pour forcer la main des partenaires européens afin de sauver son économie en déroute.
Le Portugal récalcitrant au confinement intégral s'en sortit mieux, le Royaume Uni résista un temps pour se rendre à l'évidence de couler l'économie plutôt que laisser des octogénaires s'éteindre en mauvaise santé. Merkel se fia à la technicité de ses installations sanitaires, confina modérément et s'en sorti à moindre dommage. La Belgique confina à fond en payant le prix fort.
Là dessus les E.U.A entrèrent dans la danse, Trump pris de court en année électorale, crut rassurer en rejoignant le troupeau et coula l'économie mondiale.
Ce fut alors au tour des pays en voie de développement de s'aligner, le Brésil et l'Inde virent aussi des virus corona sous chaque pierre.
Cette fausse pandémie repose sur une entourloupe élémentaire, faire passer les décès de personnes agées en mauvaise santé pour l'oeuvre exclusive d'un virus de chauve-souris. Elle montre avant tout l'indigence morale et scientifique de nos médecins commerçants rentiers de la Sécurité Sociale, puis la niaiserie de la classe politique avalant la moindre couleuvre passant à proximité, sans compter la complaisance quand ce n'est pas la complicité de l'industrie des médias.
L'age moyen de décès attribué au corona s'élève à 78 ans aux E.U.A. et 81 ans en France, la messe est dite, ce n'est pas une pandémie mais la vieillesse de la population qui est en cause, hormis la proverbiale bêtise humaine.
mardi 29 septembre 2020
dimanche 27 septembre 2020
Pandémie gériatrique
La pandémie inventée par les médias de propagande n'emporte que 0.5 % des retraités autant dire qu'elle n'a aucun incidence sur les comptes lourdement déficitaires des pensions. Le monde développé se confronte au vieillissement de la population à travers le financement des retraites . Tout se passe comme si elles augmentaient la longévité tout en agravant la santé,alourdissant ainsi le poids des oisifs aux dépend de la population laborieuse.
De surcroît la démographie galopante dans le monde en développement pèse sur les ressources de l'environnement à l'instar de la frénésie consommatoire du monde développé rejoint par la Chine où 20 à 25% croissant de pensionnés ajoutés aux 10 % de chômeurs indemnisés ou non grévent davantage les finances publiques au point d'en menacer l'équilibre.
Le COVID-19 se révèle une maladie bénigne entre toute pour peu qu'on soit en bonne santé sinon elle peut s'avérer mortelle. Facilement évitable par une diète végétale appropriée, aisément guérissable avec du désinfectant courant comme l'eau oxygénée diluée ou la vitamine C en doses massives si les symptômes persistent sans oublier le jeûne thérapeutique, la population en bonne santé quelque soit l'age se voit épargnée par le virus.
Les tests s'avèrent non fiables mais très rentables pour les laboratoires sur lesquels pleuvent des milliards d'argent public à 250 M€ par mois aux frais de la sécurité sociale, ou privé provenant de magnats au motivations douteuses. Lá se trouve le coeur du moteur de la pseudo-pandémie, du négoce en gros.
Il s'agit d'une démonstration de force de l'appareil de propagande, autrefois monopolisé par la hiérarchie religieuse,aujourd'hui objet d'une lutte d'influence entre l'Etat et le capital en proportion variable selon le type de régime politique, ainsi en Chine tout l'appareil médiatique moins quelques miettes à Hongkong reste soumis à l'Etat controlé totalement par le Parti Communiste, aux E.U.A. c'est l'inverse en Europe la moitié.
Certains pays de l'U.E. ne sont plus.en mesure de répondre à leurs engagements sur les retraites notamment les pays Club Med, risquant d'allonger la durée de cotisation et diminuer drastiquement les pensions comme en Grèce il y a dix ans. Là se trouve le problème le plus difficile, le COVID-19 reste très facile à remédier en comparaison.
La solution: privatiser la Sécu et les retraites afin de sauvegarder l'Etat, dare-dare. Les retraites et la Sécu doivent supporter leur part de risque équitable, les libéraux classiques ne disent pas autre chose car la charge s'avère insupportable pour l'Etat à cause des manipulations abusives de la faction au pouvoir. Si l'Etat cautionne alors les pertes peuvent être illimitées.
Le COVID-19 met en évidence l'emprise du complexe médico-pharmaceutique sur la Sécu cautionnée par l'Etat sans raison sinon déresponsabiliser la gestion, idem pour les retraites avec là aussi un cortège de conséquences néfastes de la caution de l'Etat.
mardi 8 septembre 2020
mercredi 2 septembre 2020
Libre-échange et protectionnisme
Le libre-change constitue la doctrine économique de l'OCDE exemplarisée par l'O.M.C. mais l'édifice réglementaire commence à se fissurer devant les assauts sans merci de l'économie chinoise planifiée.
Pour ne payer que 15 % de taxe douanière au lieu de 48,5 % , les importateurs allemands de bicyclettes font assembler en République de Chine, Taiwan, les pièces fabriquées en République Populaire de Chine.
La Chine joue sur deux leviers pour ses exportations, les subventions et l'effet d'échelle ainsi la plus grande usine de bicyclettes du monde dispose d'une capacité de un million d'exemplaires par an.
Pour contourner le droit de douane européen sur les bicyclettes chinoises celles-ci arrivent désormais du Cambodge, Thaïlande ou Indonésie puis de Tunisie.
Sans droit de douanes sur les bicyclettes chinoises comme aux E.U.A. celles-ci inondent le marché en éliminant la fabrication autochtone, un temps florissante en Pennsylvanie.
En 2017 l'Allemagne exporte 1200 milliards € avec un surplus de 250 milliards, la Chine dispose d'un surplus de 110 milliards, les E.U.A. pâtissent un déficit de 550 milliards dont 384 avec la Chine.
L'U.E. adopte des droits de douanes antidumping pour protéger son industrie des importations de produits fabriqués en Chine.
Le Cameroun en signant un accord de libre-échange avec l'U.E. voit son agriculture fragilisée par la concurrence européenne, ainsi les oignons autochtones disparaissent au profit de la production hollandaise, mais l'arrêt des importations de poulet a permis la renaissance de l'activité. D'autres secteurs comme la fabrication mécanique restent irrémédiablement clos à la production nationale.
La Suisse adopte des droits de douanes flexibles en durée et montant en fonction de ses disponibilités, pour la production horticole la taxe peut augmenter d'un facteur 100 en saison, sinon n'y aurait plus d'agriculture nationale selon les agriculteurs.
L'Allemagne subventionne l'hectare agricole à hauteur de 280 € par an, soit 60 Mds mais cela favorise la surproduction de lait et de porc inondant à leur tour le marché chinois.
Les E.U.A. subventionnent aussi largement leur agriculture, leur industrie agro-alimentaire inonde les marchés mondiaux.
Les 10 % plus riches possèdent 90 % des richesses et les 50 % plus pauvres 0.2 % des richesses. la mondialisation du libre-change creuse l'écart entre riches et pauvres.
De 2008 à 2018 la compagnie Alphabet a quintuplé sa valorisation boursière, Apple l'a décuplé alors que le PNB global n'a crû que de 30 %.
A défaut de régulation globale le libre-échange tout azimuts profite au secteur financier par les mouvements incessants de capitaux, pouvant facilement rejoindre un paradis fiscal.
Tout pays a tendance à rechercher le libre-échange dans ses secteurs compétitifs et le protectionnisme dans ses secteurs moins compétitifs d'où les déséquilibres commerciaux.
En conclusion, le libre-change intégral semble la loi de la jungle commerciale où tout les coups son permis pour conquérir les marchés internationaux afin d'y imposer son prix. La régulation du commerce s'avère l'instrument de premier choix pour développer l'emploi et l'activité.
Les pneus, la déforestation et la justice sociale
En Asie du Sud-est on rase les forêts primaires pour laisser place aux plantations de caoutchouc pour les pneus. Le Cambodge vend les terres cultivées par les indigènes à des sociétés pour les transformer en plantations, réduisant les paysans à la misère. En Thaïlande les paysans défrichent la forêt primaire pour l'exploiter en employant une main d'oeuvre cambodgienne payée moins que le salaire minimum pour récolter la sève de l'hévéa.
Les industriels du pneu comme Michelin, Continental, Goodyear, Birdgestone s'avèrent à l'origine de la déforestation des forêts primaires d'Indochine mais le recyclage de la matière première usée n'est pas partout obligatoire. En Insulinde jusqu'en Malaisie on déforeste en faveur du palmier à huile pour les industries cosmétiques et alimentaires.
La surface des plantations a crû de 300 % en trente ans et ne cesse de croître même si le prix du caoutchouc s'est effondré il y a quelques années.
En Allemagne le pneu automobile s'avère une industrie à 44 milliards d 'euros mail il n'est toujours pas obligatoire de retraiter les pneus usés pour en réutiliser 70% avec une qualité identique comme en France . Résultat les pneus usés sont brûlés en cimenterie pour un prix dérisoire ou même un coût.
Ces industriels prétendent se soucier de l'exploitation durable de la matière première végétale mais avouent leur impuissance sur les premiers maillons de la chaîne de production.
mardi 4 août 2020
samedi 25 juillet 2020
Une solution diététique á la pandémie : crudi-végétalisme et jeûne intermittent
Arrêtons de tourner autour de pot voici les deux questions importantes du moment: un régime alimentaire principalement crudi-végétal prévient-il l'infection microbienne comme le COVID-19 ? le jeûne guérit-il l'infection microbienne comme le COVID-19 ?
Théoriquement et expérimentalement certainement pourvu que la santé ne soit pas trop compromise, selon le biologiste et naturopathe états-unien Robert Morse entre autres scientifiques . De même le jeûne demeure une thérapie à l'efficacité prouvée à la portée d'une majorité écrasante du public. De surcroît l'intérêt ne s'avère pas seulement individuel mais collectif et environnemental.
Cette pandémie s'avère l'occasion rêvée pour l'évolution globale du régime alimentaire humain vers une diète plus soutenable pour l'environnement en diminuant notablement la cuisson pour économiser l'énergie en améliorant la nutrition d'une part et en diminuant l'apport des aliments animaux d'autre part pour préserver l'environnement, on fait ainsi d'une pierre plusieurs coups.
Selon le scientifique Robert Morse il n'y a pas d'autre solution car c'est ainsi que fonctionne l'organisme d'un primate comme l'homme, son système lymphatique doit demeurer fluide afin d'évacuer l'infection inévitable, ce que l'alimentation crudi-végétale détermine de manière optimale, la biologie se gouverne par la mécanique des fluides.
jeudi 23 juillet 2020
vendredi 17 juillet 2020
Une solution à la crise française: la planification de la sauvegarde de l'environnement
La Chine s'oriente vers ce genre de solution lentement mais surement. On le voit par ses efforts pour combattre la désertification, les crues torrentielles. Elle en a les moyens par son organisation politique et son économie planifiée s'avérant d'une efficacité redoutable.
dimanche 12 juillet 2020
jeudi 2 juillet 2020
L'emballage en plastique photo-dégradable de demain
Les époux Grinvald, installés en Chine depuis Israel ont créé l'emballage en plastique photo-dégradable de demain. Des boites à chaussures dégradées en six mois et disparues sans polluer en 25 mois. A partir de plastique composite à 80 % de poudre de pierre soit du carbonate de calcium et 20 % de plastique haute-densité. Recyclable à 100% et apte à remplacer papier et carton. Une patente protège le procédé de fabrication de la boite à chaussure.
Ils fabriquent aussi des chaussures de mode en matériau de déchets de plastiques, de cuirs des tanneries et de denim.
Les plasturgistes mettent au point des plastiques photo-dégradables et bio-dégradables pour tenter d'enrayer la prolifération des déchets. En France EMMS prévoit 3.5 milions de CA pour ce type d'emballage cette année.
mardi 30 juin 2020
lundi 22 juin 2020
Le complot contre la santé selon Livernette
Un exposé exhaustif du complot des compagnies multinationales de la pharmacie, agro-chimie, agro-alimentaire contre la santé publique.
Dans ce tableau de la dystopie industrielle, le secteur de l'agro-chimie produit les pesticides et engrais chimiques qui stérilisent la terre, les Organismes Génétiquement Modifiés se conçoivent pour l'agriculture chimique, le secteur de l'agro-alimentaire transforme la production agricole au point de la rendre pathogène, la pharmacie prétend réparer leurs dégâts mais aggrave l'état du malade quand elle ne l'achève pas. La grande distribution articule le tout par le truchement du secteur logistique, émanation du secteur mécanique, pour former un ensemble relié individuellement par la télématique.
Ce genre de compagnie commerciale, la multinationale, croit au dépend de l'entreprise individuelle du commerce, industrie et agriculture principalement en éliminant des emplois, investit les bénéfices dans la publicité, le financement politique, jusqu'à faire voter des lois les favorisant, la vaccination présentant l'exemple le plus flagrant d'une supercherie commerciale avalisée par la législation.
Médecins, pharmaciens, chimistes, agriculteurs, cuisiniers, éditeurs, tous pour la plupart complotent contre la santé publique plus ou moins consciemment. Dans ce cas il vaut mieux en abandonner la notion, l'État a mieux à faire que légiférer sur la santé, il ne doit pas s'arroger la responsabilité de la santé du citoyen, celle-ci relève de l'individu adulte à l'évidence, il en va de même des vieillards dépendants dans les EHPAD.
L'impéritie des gouvernements des états confinés les a réduit à la faillite en paralysant l'économie tout en épargnant la fonction publique. Des gouvernements incapables de conduire leur économie mais prétendant enrayer les épidémies.
vendredi 19 juin 2020
Parasitisme médical
Le confinement la population ne fait plus consensus aujourd’hui, y compris au sein de la communauté scientifique.
Venu devant la commission d’enquête avec trois autres membres du conseil scientifique, Delfraissy a laissé l’épidémiologiste à l’institut Pasteur, Arnaud Fontanet, défendre l’utilité de cette mesure. « Nous n’avions pas le choix a appuyé ce dernier, évoquant le nombre de malades anticipé par les modèles qui aurait submergé les services de réanimation. (lemonde.fr);
Ce n'est pas la réalité mais des modèles énigmatiques qui inspirent ce conseil scientifique, de fait il sert à diluer la responsabilité du pouvoir en cas d'échec, pour preuve on en parle beaucoup avec une économie par terre, un taux de victimes des plus élevés et pas de solution en cas de retour ou nouvelle pandémie. Le confinement général se révèle la pire des solutions en comparant les bilans, voyez le Vietnam, non confiné, 97 millions d'âmes, 1000 kilomètres de frontières avec la Chine et zéro morts du Corona.
Que des médecins, certes retraités, en soient réduit à conseiller la destruction de l'économie nationale pour lutter contre la grippe saisonnière, laisse pantois et en dit long sur l'avènement du gouvernement en temps réel, par tweet interposé sur téléphone cellulaire. Médecins par ailleurs pas du tout préparés à assumer des décisions politiques, puisqu'ils vivent grassement de l'assistance sociale financée par prélèvement obligatoire sur le travail, donc non soumis à l'obligation de résultat comme tout un chacun.
Ce conseil soi-disant scientifique a exposé publiquement l'incompétence du corps médical, pas foutu de guérir la moindre grippe. Le confinement revient à brûler tout le territoire pour une invasion de chenille, il s'agit de la décision prise par l'exécutif.
On aurait pu se contenter de confiner les personnes à risques mais on a préféré la détection des porteurs sans avoir suffisamment de tests et sans test tout médecin BAC+9 ne sait plus où il habite. Apparemment comme les médecins ne savent pas reconnaître une personne en mauvaise santé, soit vulnérable à la grippe, on ferme l'économie, ou alors ils pensent qu'il y a trop de personnes en mauvaise santé dans la population vieillissante mais comme on en sait rien, je suspecte l' incompétence médicale.
Autre cas d'incompétence notoire de la corporation , l'interdiction du médicament à base de plante Artemisia Annua, alors qu'elle s'avère le remède le plus efficace contre le paludisme, maladie que la médecine occidentale n'est jamais parvenu à vaincre contrairement à la médecine traditionnelle chinoise depuis des millénaires. Le prétexte d'interdiction tient en l'efficacité insuffisante du médicament à base d'artémisia en comparaison du médicament existant tout en reconnaissant qu'il ne l'est pas à 100 %, l'efficacité du dérivé d'artémisia dépendant de la dose que selon l'agence du médicament on ne peut connaître.
Résultat la France interdit le médicament à base de la plante la plus efficace contre le paludisme.
On pourrait aussi évoquer la décision récente d'obligation de onze vaccins sur les enfants de moins de deux ans alors que leur composition reste secrète et que leurs fabricants demeurent irresponsables pénalement des dégâts éventuels infligés par leur produits. Cela rapproche la règlementation française de celle de E.U.A., passés de trois à onze vaccins obligatoires depuis les années 80 puis à 72 vaccins obligatoires aujourd'hui pour le plus grand bénéfice de la Grande Pharmacie malgré plus de 4 milliard d'indemnités versées aux victimes des vaccins sur plainte devant le tribunal dédié aux dégâts des vaccins.
Un vaccin peut rapporter gros surtout s'il est obligatoire, en effet très facile à produire, à charge du talent commercial d'en tirer le plus de bénéfice: une pincée de divers métaux lourds, de virus, de formaldéhide et le tour est joué. Il s'agit d'injecter un maximum de saletés dans le sang et laisser le système immunitaire se débrouiller. Loin d'immuniser, les vaccins répandent les infections et si le vacciné s'en sort indemne il le doit aux précautions d'hygiène prises, le plus souvent pour ne plus subir pareil traitement à l'avenir.
mardi 16 juin 2020
dimanche 14 juin 2020
Les bavures policières redeviennent tendance
Aujourd'hui la police filme la plupart de ses interventions, tout comme le badaud de passage avide de propager la rumeur. Rien de plus croustillant que l'exécution d'un citoyen par la police sur le vif. Il importe de battre le fer tant qu'il est chaud, ne pas laisser retomber la mayonnaise, il y a des claques et des clicks, du temps de cerveau disponible qui se perdent.
Les gendarmes et les voleurs remplacent les gladiateurs, que le spectacle continue sinon gare au peuple! Il convient de rendre hommage au petit peuple afro-américain qui a tant sacrifié de membres de sa communauté pour la cause des droits civiques.
En retour une délégation de l'ensemble de la communauté nationale décida de sacrifier une sélection de temples de la consommation les plus prisés, joailleries, concessionnaires automobiles et le reste à l'avenant dans les plus beaux quartiers.
La gauche activiste que l'on ne connaissait plus depuis un siècle aux E.U.A. renaît de ses cendres sous l'ère du riche comme Crésus Trump, l'ultime provocation telle la goutte qui fait déborder le vase.
Les militants gauchistes se montrent capables de coordonner le pillage des centres villes au moment propice pendant la durée optimum tout en limitant les représailles grâce à la mobilisation de la classe politique adversaire de Trump en année électorale.
Certaines n'hésitent plus à incendier des véhicules de police au lance-flamme de poche.
Trump fléchit, il pose lui aussi un genou à terre en confinant sous la pression de l'opposition. En trois ans il fut incapable d'ériger le moindre mur du Mexique ni réformer l'immigration comme le réclament ses partisans les plus vindicatifs afin de juguler la croissance organique de l'électorat du Parti Démocrate. Son bilan s'avère désormais négatif, même sur son point que l'on croyait fort, l'économie. Trump ne mobilise plus que l'opposition , c'est dire, il retombe dans l'image de clown de télé-réalité qui l'affligeait déjà avant son élection.
vendredi 12 juin 2020
mercredi 10 juin 2020
Il est urgent de dé-fonctionnariser les partis politiques
Du point de vue économique il serait profitable de sortir de l'assistanat d'État, moyen commode de se rendre populaire auprès de certains électeurs, au lieu de servir des allocations sans contreparties.
La population devrait se remettre au travail, dépenser plus pour une agriculture soutenable donc recourant à davantage de main d'oeuvre locale, de produits domestiques fabriqués sur le territoire national plutôt qu'aux antipodes. Moins de prestations sociales à n'en plus finir, moins d'emplois improductifs dans la fonction publique, dans la bureaucratie.
Priorité au secteur primaire, mis à mal par 50 ans de soi-disant révolution verte qui a rendu les champs toxiques à exploiter à force d'intrants agricoles chimiques plutôt que biologiques.
L'assistanat d'État devient un boulet dont l'économie devrait se délester pour rester à flot en dépit des revendications politiques et syndicales, institutions dont il faut supprimer le financement public de toute urgence. En Allemagne les syndicats s'autofinancent, sans aide de l'État ils restent bien plus influents qu'en France.
Les partis politiques deviennent une annexe de la fonction publique, la rétribution tombe toute seule chaque mois sans besoin de se décarcasser, au bout du parcours l'effet s'avère létal, les partis domestiqués par la fonction publique ne remplissent pas leur rôle moteur.
Le secteur social notamment médical et hospitalier se révèle incapable de parer à la moindre épidémie de grippe anodine comme le COVID-19. Une médecine obsolète et monopolistique transformée en opportunité de carrière financée par les prélèvements obligatoires sur le travail ne remplit pas son rôle de service à la production.
Les hôpitaux se transforment en établissements d'hôtellerie infestés de maladies nosocomiales, réduisant leur utilité publique à néant.
Cette médecine au service des médecins et de l'industrie devrait se libérer du carcan de monopole d'État pour retrouver un minimum de crédibilité, elle aussi devrait faire ses preuves chaque jour, ni plus ni moins que les médecines dites alternatives comme la naturopathie. L'urgence pour que les partis politiques retrouvent leur crédibilité de même que les syndicats consiste à les dé-fonctionnariser, soit les sortir du financement public, qu'au moins ils répondent à des tiers de leur utilité.
REM en représentait le meilleur exemple: il prend le pouvoir, soulève l'intérêt, puis retombe dans la léthargie, l'indifférence générale, la routine et l'improductivité, happé par la subvention publique et la bureaucratie.
Les partis auto-financés s'avèrent invariablement les plus dynamiques, y compris le Front National des années 80 et 90, aujourd'hui l'UPR de François Asselineau sans conteste, les autres partis mangent la soupe de la subvention, stagnent, dépérissent pour sombrer dans l'oubli comme le PS, le PC, les groupuscules gauchistes, les Républicains.
Invariablement, sans exception, il convient de choisir entre le harnais des subventions publiques et la liberté de manoeuvre qu'apporte la quête inlassable d'autofinancement privé.
Lancement spatial privé ou public, quelle différence ?
Le caractère distinctif du lancement ne réside pas vraiment dans le sceau commercial apposé sur la fusée, la NASA ayant toujours collaboré avec des sociétés commerciales pour réaliser ses projets en se comportant comme le maître d'ouvrage veillant sur les réalisations des maîtres d'œuvres externalisés, mais dans la réusabilité affichée de la fusée qui reste à prouver soit dit en passant. En effet l'atterrissage contrôlé du premier étage n'implique pas qu'il devienne réutilisable.
Avec la navette spatiale, la fusée ne se réutilisant pas, les étages plongeaient dans l'océan, la NASA se chargeant de les récupérer. Aujourd'hui la capsule habitée ne se réutilise pas, il reste toujours une partie de la fusée à récupérer dans l'océan.
Pour l'instant les revenus de l'entreprise proviennent intégralement des commandes de l'État des E.U.A. , dans le cadre du financement de la station spatiale en association avec d'autres états souverains notamment la Russie. On se trouve encore très loin de l'entreprise de tourisme spatial tant vantée aux investisseurs potentiels, là où les commandes de l'État se font plus rares.
vendredi 5 juin 2020
jeudi 4 juin 2020
Réseaux sociaux : l'arroseur arrosé
La personne de couleur de deux mètres de haut venait de commettre un délit en achetant des cigarettes avec un grossier faux billet de banque, le caissier s'en aperçut, deux employés demandèrent la restitution de la marchandise volée, au refus de quoi ils appelèrent la police. Le délinquant manifestement en état d'ébriété refusa d'embarquer dans le véhicule de police. Repris de justice ayant purgé cinq ans de prison pour vol à main armé, les agents l'immobilisèrent sans ménagement attendant l'arrivée d'un véhicule plus spacieux. Un policier eut recours à une clé d'immobilisation prescrite par son autorité administrative dans les circonstances de l'arrestation, un genou sur le cou. Le véhicule mit plus de huit minutes pour arriver. Entre temps le délinquant immobilisé, après avoir clamé ne pas pouvoir respirer, perdit connaissance. Il décéda peu après à l'hôpital. L'autopsie révéla la mort par arrêt cardiaque, la présence de l'opioïde Fentanyl dans le sang, la prise récente de méthamphétamine, une maladie de l'artère coronaire et une maladie du cœur liée à l'hypertension. L'immobilisation fut filmée à l'insu des policiers et diffusée sur les réseaux sociaux.
L'opposition politique en cette année de réélection tenait enfin un motif de laisser échapper la pression du confinement, ce fut la curée. Les médias s'en donnèrent à cœur joie, malgré la récurrence de ce genre d'arrestation légitime dégénérant en drame. On produisit la partie flatteuse du profil du délinquant, le témoignage des proches, bien sûr le policier fut illico lynché médiatiquement, lâché par sa hiérarchie en compagnie du reste de la brigade présente sur les lieux. Le maire démocrate de Minneapolis retînt ses troupes devant les premiers accrochages de la foule, devant l'émeute et encore devant l'incendie du bâtiment de police voisin.
La foule eut dès lors la bride sur le cou, l'opposition politique la légitima, la caressa dans le sens du poil, au fond c'était la faute du président sortant, le champion de l'opposition annonça son assistance à l'enterrement du délinquant. Le pillage, le saccage urbain se répandit comme une traînée de poudre dans les grandes villes, les beaux quartiers commerçants furent ravagés à New York par des émeutiers encagoulés, largement des afro-américains avec la complicité d'activistes caucasiens, entreposant des matériaux contondants aux endroits sensibles.
Sur les réseaux sociaux des caucasiennes en tenue printanière posaient un genou à terre, même les deux, sur injonction d'afro-américains munis de leur téléphone cellulaire avec caméra. Des forces de police locales emboîtaient le pas aux cris des manifestants. Arrêter un dangereux délinquant se présenta dès lors comme une manifestation de racisme s'il se révélait afro-américain.
Le Président fut pris au dépourvu, lui qui durant trois ans se contenta d'un prototype de mur de contention contre l'invasion mexicaine, s'avéra un prototype de Président contesté à la Maison-Blanche , dans sa famille par son gendre, dans le rang des élus de son parti, jusque dans le repaire de l'armée, le Pentagone, malgré les tombereaux de financement public déversés.
Le Président ayant trop bien réussi dans les affaires immobilières, à une faillite près, se taillant une place sur la scène tragi-comique de la télé-réalité, ne pouvait manquer de rencontrer une forte opposition à l'idée de sa réussite politique. On ne le lui pardonnerait pas. L'opposition le désigna à la foule déshéritée comme la figure à renverser dans les stands de foire.
La vague de saccage que vit l'administration Trump tombée dans le piège des réseaux sociaux tendu par ses adversaires politiques renforce encore la virtualisation du commerce au dépend du tissu commercial traditionnel, au détriment de l'emploi. La reprise en main par l'administration se voit entravée par les collectivités locales aux mains de l'opposition, seuls territoires où l'émeute ne se réprime pas.
Entre l'activité économique et le désordre public entraînés par les réseaux sociaux, l'administration doit redresser l'équilibre, il y a comme une incompatibilité d'humeur à résoudre en s'inspirant possiblement de système chinois, cent pour cent de censure pour zéro émeute. Il est vrai qu'aux Amériques on se demande souvent qui détient le pouvoir, les magnats industriels ou les élus politiques?
La campagne pré-électorale bat son plein. La Chine se frotte les mains de l'attention détournée du virus Corona, de son emprise démesurée sur le commerce international, de son état de surveillance totalitaire, de ses revendications territoriales ex-nihilo.
Et Macron dans tout cela? Il s'apprête à trouver un pouvoir incontesté en Europe tout près du Brexit, du moins tant qu'il conserve les moyens de contribuer significativement au budget communautaire, ce qui dépend dorénavant de la réponse de la commission européenne à la demande du conseil constitutionnel allemand de justifier les prêts pandémiques accordés par la BCE
samedi 30 mai 2020
Les emballages en plastique, nuisance devenu fléau
Le lancement des produits cosmétiques de Noel de la marque Lush se compare à l'Evénement Spécial de la marque Apple sous hallucinogène. Comme dans les années 1970, il y a de la révolution dans l'air. L'éditeur de la revue britannique The Ecologist Brendan Montague le rapporte depuis "Madchester".
"Il nous faut créer une révolution cosmétique pour sauver la planète” dit Mark Constantine, le cofondateur de la marque Lush dans l'annonce des points clés pendant son exposition évènementielle à Manchester ce jour. “Le temps qu'il reste s'épuise, il nous faut une révolution”.
Le festival annuel du savon se rapproche de l'Evènement Spécial de la marque Apple mais sous hallucinogène. Constantine arborait un brillant costume à fleurs lors de sa présentation dans une salle de capacité 1,200 personnes du centre de conventions de Manchester.
M. Constantine dit que Lush sait bien qu'elle ne peut donner à ses clients tout ce qu'ils demandent. "Nous voulons des arc-en-ciels, des licornes et des cascades." continua-t'il," Ce n'est pas ce que le monde nous réclame car nous ne pouvons pas toujours le faire contrairement aux mensonges de nos concurrents, mais c'est tout ce dont vous avez besoin".
Travailler dur
M. Constantine confirma que la marque eut recours à l'huile de palme entre 1995 et 2008 et que ses produits utilisent 7 735 kilos de parabène globalement chaque année. Toutefois il faisait tout ce qu'il pouvait pour avancer vers des produits "auto-préservants" et les ventes de produits à parabène fléchissaient.
"Toute notre vie nous avons travaillé dur pour retirer les conservateurs chimiques de nos produits.. Ces conservateurs se doivent être du poison, c'est ainsi qu'ils travaillent, ils doivent empoisonner les microbes", dit-il.
Le fondateur confessa que la marque ne savait pas ce que signifiait naturel, ayant passé des années à patauger alors qu'il se révélait expert à jetter de l'ombre sur la concurrence.
Aujourd'hui la marque Lush se classe à la 33ème place des laboratoires cosmétiques du monde, elle a donné 50 millions de Livres à 3 500 causes bienfaisantes ces cinq dernières années dont 1,86 million à 93 lauréats du Prix Lush pour la fin de l'expérimentation animale dans l'industrie.
Lush se vend davantage comme une marque éthique, réduisant l'usage du plastique,des conservateurs chimiques, défendant des causes politiques que la plupart des compagnies commerciales évitent, le plus récemment en contestant le déploiement immoral et inhumain d'officiers de police sous couvert.
Expérimentation sur les animaux
Les magasins de cosmétiques vendirent 37,9 millions de shampoings en barre sans emballage durant 13 ans, ce qui a épargné 2 860 tonnes de plastique, l'équivalent de 3.6 % de la décharge publique dans le grand pacifique.
Le cofondateur souleva un grand élan d'étonnement dans l'audience à l'annonce de son nouveau mascara sans emballage. En tout la marque Lush a vendu 93 millions d'unités sans emballage cette année, seulement 60 % des produits et la même proportion qu'en 2010 avec 49 millions d'unités. Progresser en la matière requiert de l'innovation, "Nous possédons quelques spécialités techniques dont nous sommes diablement fiers". ajouta-t'il.
Il conclut en admettant que la marque Lush semblait comme un enfant demandant à ses parents "Pourquoi ne suis-je pas la première marque cosmétique du monde ?" Il suggéra que le travail de toute l'équipe conjugué à la motivation de la clientèle signifiait que cela restait envisageable.
Ce matin des milliers de gens s'engouffrent entre les portes du centre. Une foire psychédélique attend les invités à l'intérieur, avec des ballons de baudruche de toutes les couleurs, kaléïdoscope d'étalages intéractifs avec bien sûr une échoppe de capsules de bain et maquillage colorées pour l'occasion.
La maison de jeu ne distrayait pas des étalages plus sérieux centrés sur un large éventail de préoccupations sociales et environnementales, depuis les droits de l'homme en passant par l'immigration, l'expérimentation sur les animaux et la nécessité de régénération.