lundi 14 décembre 2020
jeudi 3 décembre 2020
Chronique de l'arnaque vaccinale annoncée
C'était gros comme une maison, de part et d'autre l'Atlantique des vaccinés, médecins et avocats relevaient depuis le début de la vaccination dans les années 1960, l'inefficience et les accidents sans que personne ne puisse apporter la preuve de l'efficacité du procédé. Le tour de passe-passe consiste à attribuer au vaccin les résultats positifs des mesures d'hygiène conjointes et incontournables afin d'affirmer fièrement que la vaccination a sauvé des milliards de personnes donc il n'y a aucune raison de la refuser à priori.
Les mesures d'hygiène prises par la population vaccinée rapportent peu aux laboratoires, les vaccins des sommes fabuleuses dès lors la messe est dite, les profits servent à faire taire les critiques, indemniser les accidents, acheter la presse, les médias audio-visuels, les partis politiques sans oublier les lobbystes pour obtenir en bout de chaine un système de corruption généralisée destiné à capter les prélèvements obligatoires versés à la Sécurité Sociale sur les revenus du travail. En voila de l'intégration industrielle.
Pour s'en convaincre il y a lieu de se rappeler que la poliomyélite, le choléra contaminent l'eau ou les aliments souillés, le tétanos provient de bactéries dans la terre, la grippe s'avère indépendante de la vaccination. De plus il ne suffit pas de se contaminer pour développer l'infection, encore faut-il que le système immunitaire soit incapable de la combattre, situation survenant chez l'individu affaibli physiquement pour une raison comme l'alimentation inadaptée.
À l'évidence la vaccination ne surmonte pas le handicap de l'hygiène déficiente ou la diète inadaptée, par hypothèse elle s'attaque aux symptômes au pire elle tue, en tous les cas elle ne remonte pas aux causes de la maladie qu'elle prétend prévenir.
La médecine académique se voit désormais remise en cause par la médiocrité de ses résultats couplés aux conflits d'intérêts crevant les yeux, présents à tout les niveaux depuis l'enseignement jusqu'à la pratique. Il y a une industrie lourde derrière la consultation médicale et l'inévitable prescription qui s'ensuit.
Rien de tel qu'une bonne pandémie de grippe bénigne pour remettre la pendule à l'heure du profit médical rendu possible par l'absence de vigilance de l'éxécutif.
mercredi 18 novembre 2020
Le complot de l'Ordre des Médecins et autres actualités
Les médecins financés grassement par la Sécurité Sociale à ne pas nous soigner voient leur incompétence exposée au public par une grippette bénigne entre toute très facile à guérir avec les moyens du bord. Assaillis par les critiques fusant depuis les médecines alternatives diverses et variées se vantant de faire mieux pour moins cher comme la naturopathie, l'Ordre des Médecins sent son monopole d'Etat remis en question et craint pour sa première place des catégories socio-professionnelles aux plus hauts revenus depuis 2010.
Monarc n'y connaissant rien reste bien obligé de s'en remettre aux spécialistes patentés qui dès lors ne se privent pas de le manipuler afin de favoriser leur intérêt. Ils croiront fermement à un vaccin illusoire jusqu'à la démonstration de leur incompétence corrompue ou l'émeute généralisée, en attendant risquent de nous confiner inutilement au nom de leur confort professionnel. La palme de cette incompétence corrompue par le flot incessant des subventions revient sans conteste au professeur braillard Didier Raoult, s'il fustige le confinement à raison, il défent la médication à outrance.
Ainsi le conseil de cet ordre menace ses troupes qui délivreraient des dérogations de port du masque aux parents pour leurs enfants. Cette organisation institutionnalisée s'avère l'inspiratrice du gouvernement en matière de santé publique avec les résultats désastreux que l'on sait.
Le reconfinement rend les démocraties la risée du monde quand la Chine abandonne le masque et reprend son travail de sape des économies concurrentes depuis belle lurette. S'il est élu Biden serait une catastrophe migratoire, un gauchisme rampant et déstabilisant en faveur de la domination commerciale chinoise s'établirait, les prébendes syndicales inexistantes en Chine renaîtraient. Inversement Trump serait la catastrophe écologique annoncée, la fuite en avant financière sapant les bases du dollar, la soumission aux industries polluantes de l'énergie, du médicament, de l'agro-chimie, de l'agro-alimentaire, le conflit médiatique incessant. Trump reste en cheville avec le multi-milliardaire Billy Koch qui a besoin de pipelines pour écouler son pétrole de coke vers les ports à destination de la Chine.
La Chine détient l'avantage d'une gouvernance bien plus centralisée et bureaucratique que ses concurrents grâce à son système judiciaire et carcéral autrement plus dissuasif incitant à l'ardeur laborieuse de sa surpopulation qui n'a d'autre choix que s'exécuter. Trump reste cependant le seul à ne pas se rendre sans condition épaulé par le japonais Saga et l'indien Modi sans alternatives, c'est aussi probablement la dernière chance des républicains pour rétablir l'équilibre éthno-électoral passablement compromis par G.H. Bush, puisque ce lien se révèle fermement établi.
L'Arménie en faisant mine de se détourner de la Russie, après s'être présomptueusement lancée dans l'indépendance à la frontière de 80 millions de turcs dont le chef se vante de finir le génocide entamé par ses grand-parents, a présumé de ses forces jusqu'à en perdre presque tout le Haut-Karabak repris aux azéris en 1994 après la terminaison de son statut d'oblast de l'Azerbaïjan. Dans leur situation il n'y avait aucune honte à rester une république dans la Fédération de Russie, sous son aile les azéris auraient réfléchi à deux fois avant de les attaquer, en même temps les arméniens n'auraient sans doute pas reculé leurs frontières, l'erreur remonte loin et pas seulement au Premier Ministre Nikol Pashinyan.
dimanche 15 novembre 2020
mercredi 4 novembre 2020
Réponse de la médecine orthomoléculaire au confinement
lundi 2 novembre 2020
vendredi 30 octobre 2020
Faillite de la médecine académique, pandémie de carton-pâte, vieillissement de la population
lundi 12 octobre 2020
samedi 3 octobre 2020
Pandémie de confinement
S'il y a une pandémie c'est celle du confinement.
La pandémie de confinement repart de plus belle, il s'agit de montrer à quel point le gouvernement veille à la santé du citoyen jusqu'à l'ultime sacrifice de l'économie nationale s'il le faut.
Ce fut d'abord Guiseppe Conte le président du conseil d'Italie au prétexte d'une poussée de mortalité chez les octogénaires, il apitoyait ses partenaires de l'Union Européenne pour obtenir des subsides finançant l'immigration illégale originaire d'Afrique, en continuation de la politique de son adversaire socialiste Renzi.
Puis ce fut au tour de Macron à court d'inspiration s'empressant d'emboîter le pas de l'italien, puis vint Sanchez sautant sur l'aubaine de monter une mise en scène pour forcer la main des partenaires européens afin de sauver son économie en déroute.
Le Portugal récalcitrant au confinement intégral s'en sortit mieux, le Royaume Uni résista un temps pour se rendre à l'évidence de couler l'économie plutôt que laisser des octogénaires s'éteindre en mauvaise santé. Merkel se fia à la technicité de ses installations sanitaires, confina modérément et s'en sorti à moindre dommage. La Belgique confina à fond en payant le prix fort.
Là dessus les E.U.A entrèrent dans la danse, Trump pris de court en année électorale, crut rassurer en rejoignant le troupeau et coula l'économie mondiale.
Ce fut alors au tour des pays en voie de développement de s'aligner, le Brésil et l'Inde virent aussi des virus corona sous chaque pierre.
Cette fausse pandémie repose sur une entourloupe élémentaire, faire passer les décès de personnes agées en mauvaise santé pour l'oeuvre exclusive d'un virus de chauve-souris. Elle montre avant tout l'indigence morale et scientifique de nos médecins commerçants rentiers de la Sécurité Sociale, puis la niaiserie de la classe politique avalant la moindre couleuvre passant à proximité, sans compter la complaisance quand ce n'est pas la complicité de l'industrie des médias.
L'age moyen de décès attribué au corona s'élève à 78 ans aux E.U.A. et 81 ans en France, la messe est dite, ce n'est pas une pandémie mais la vieillesse de la population qui est en cause, hormis la proverbiale bêtise humaine.
mardi 29 septembre 2020
dimanche 27 septembre 2020
Pandémie gériatrique
La pandémie inventée par les médias de propagande n'emporte que 0.5 % des retraités autant dire qu'elle n'a aucun incidence sur les comptes lourdement déficitaires des pensions. Le monde développé se confronte au vieillissement de la population à travers le financement des retraites . Tout se passe comme si elles augmentaient la longévité tout en agravant la santé,alourdissant ainsi le poids des oisifs aux dépend de la population laborieuse.
De surcroît la démographie galopante dans le monde en développement pèse sur les ressources de l'environnement à l'instar de la frénésie consommatoire du monde développé rejoint par la Chine où 20 à 25% croissant de pensionnés ajoutés aux 10 % de chômeurs indemnisés ou non grévent davantage les finances publiques au point d'en menacer l'équilibre.
Le COVID-19 se révèle une maladie bénigne entre toute pour peu qu'on soit en bonne santé sinon elle peut s'avérer mortelle. Facilement évitable par une diète végétale appropriée, aisément guérissable avec du désinfectant courant comme l'eau oxygénée diluée ou la vitamine C en doses massives si les symptômes persistent sans oublier le jeûne thérapeutique, la population en bonne santé quelque soit l'age se voit épargnée par le virus.
Les tests s'avèrent non fiables mais très rentables pour les laboratoires sur lesquels pleuvent des milliards d'argent public à 250 M€ par mois aux frais de la sécurité sociale, ou privé provenant de magnats au motivations douteuses. Lá se trouve le coeur du moteur de la pseudo-pandémie, du négoce en gros.
Il s'agit d'une démonstration de force de l'appareil de propagande, autrefois monopolisé par la hiérarchie religieuse,aujourd'hui objet d'une lutte d'influence entre l'Etat et le capital en proportion variable selon le type de régime politique, ainsi en Chine tout l'appareil médiatique moins quelques miettes à Hongkong reste soumis à l'Etat controlé totalement par le Parti Communiste, aux E.U.A. c'est l'inverse en Europe la moitié.
Certains pays de l'U.E. ne sont plus.en mesure de répondre à leurs engagements sur les retraites notamment les pays Club Med, risquant d'allonger la durée de cotisation et diminuer drastiquement les pensions comme en Grèce il y a dix ans. Là se trouve le problème le plus difficile, le COVID-19 reste très facile à remédier en comparaison.
La solution: privatiser la Sécu et les retraites afin de sauvegarder l'Etat, dare-dare. Les retraites et la Sécu doivent supporter leur part de risque équitable, les libéraux classiques ne disent pas autre chose car la charge s'avère insupportable pour l'Etat à cause des manipulations abusives de la faction au pouvoir. Si l'Etat cautionne alors les pertes peuvent être illimitées.
Le COVID-19 met en évidence l'emprise du complexe médico-pharmaceutique sur la Sécu cautionnée par l'Etat sans raison sinon déresponsabiliser la gestion, idem pour les retraites avec là aussi un cortège de conséquences néfastes de la caution de l'Etat.
mardi 8 septembre 2020
mercredi 2 septembre 2020
Libre-échange et protectionnisme
Le libre-change constitue la doctrine économique de l'OCDE exemplarisée par l'O.M.C. mais l'édifice réglementaire commence à se fissurer devant les assauts sans merci de l'économie chinoise planifiée.
Pour ne payer que 15 % de taxe douanière au lieu de 48,5 % , les importateurs allemands de bicyclettes font assembler en République de Chine, Taiwan, les pièces fabriquées en République Populaire de Chine.
La Chine joue sur deux leviers pour ses exportations, les subventions et l'effet d'échelle ainsi la plus grande usine de bicyclettes du monde dispose d'une capacité de un million d'exemplaires par an.
Pour contourner le droit de douane européen sur les bicyclettes chinoises celles-ci arrivent désormais du Cambodge, Thaïlande ou Indonésie puis de Tunisie.
Sans droit de douanes sur les bicyclettes chinoises comme aux E.U.A. celles-ci inondent le marché en éliminant la fabrication autochtone, un temps florissante en Pennsylvanie.
En 2017 l'Allemagne exporte 1200 milliards € avec un surplus de 250 milliards, la Chine dispose d'un surplus de 110 milliards, les E.U.A. pâtissent un déficit de 550 milliards dont 384 avec la Chine.
L'U.E. adopte des droits de douanes antidumping pour protéger son industrie des importations de produits fabriqués en Chine.
Le Cameroun en signant un accord de libre-échange avec l'U.E. voit son agriculture fragilisée par la concurrence européenne, ainsi les oignons autochtones disparaissent au profit de la production hollandaise, mais l'arrêt des importations de poulet a permis la renaissance de l'activité. D'autres secteurs comme la fabrication mécanique restent irrémédiablement clos à la production nationale.
La Suisse adopte des droits de douanes flexibles en durée et montant en fonction de ses disponibilités, pour la production horticole la taxe peut augmenter d'un facteur 100 en saison, sinon n'y aurait plus d'agriculture nationale selon les agriculteurs.
L'Allemagne subventionne l'hectare agricole à hauteur de 280 € par an, soit 60 Mds mais cela favorise la surproduction de lait et de porc inondant à leur tour le marché chinois.
Les E.U.A. subventionnent aussi largement leur agriculture, leur industrie agro-alimentaire inonde les marchés mondiaux.
Les 10 % plus riches possèdent 90 % des richesses et les 50 % plus pauvres 0.2 % des richesses. la mondialisation du libre-change creuse l'écart entre riches et pauvres.
De 2008 à 2018 la compagnie Alphabet a quintuplé sa valorisation boursière, Apple l'a décuplé alors que le PNB global n'a crû que de 30 %.
A défaut de régulation globale le libre-échange tout azimuts profite au secteur financier par les mouvements incessants de capitaux, pouvant facilement rejoindre un paradis fiscal.
Tout pays a tendance à rechercher le libre-échange dans ses secteurs compétitifs et le protectionnisme dans ses secteurs moins compétitifs d'où les déséquilibres commerciaux.
En conclusion, le libre-change intégral semble la loi de la jungle commerciale où tout les coups son permis pour conquérir les marchés internationaux afin d'y imposer son prix. La régulation du commerce s'avère l'instrument de premier choix pour développer l'emploi et l'activité.
Les pneus, la déforestation et la justice sociale
En Asie du Sud-est on rase les forêts primaires pour laisser place aux plantations de caoutchouc pour les pneus. Le Cambodge vend les terres cultivées par les indigènes à des sociétés pour les transformer en plantations, réduisant les paysans à la misère. En Thaïlande les paysans défrichent la forêt primaire pour l'exploiter en employant une main d'oeuvre cambodgienne payée moins que le salaire minimum pour récolter la sève de l'hévéa.
Les industriels du pneu comme Michelin, Continental, Goodyear, Birdgestone s'avèrent à l'origine de la déforestation des forêts primaires d'Indochine mais le recyclage de la matière première usée n'est pas partout obligatoire. En Insulinde jusqu'en Malaisie on déforeste en faveur du palmier à huile pour les industries cosmétiques et alimentaires.
La surface des plantations a crû de 300 % en trente ans et ne cesse de croître même si le prix du caoutchouc s'est effondré il y a quelques années.
En Allemagne le pneu automobile s'avère une industrie à 44 milliards d 'euros mail il n'est toujours pas obligatoire de retraiter les pneus usés pour en réutiliser 70% avec une qualité identique comme en France . Résultat les pneus usés sont brûlés en cimenterie pour un prix dérisoire ou même un coût.
Ces industriels prétendent se soucier de l'exploitation durable de la matière première végétale mais avouent leur impuissance sur les premiers maillons de la chaîne de production.
mardi 4 août 2020
samedi 25 juillet 2020
Une solution diététique á la pandémie : crudi-végétalisme et jeûne intermittent
Arrêtons de tourner autour de pot voici les deux questions importantes du moment: un régime alimentaire principalement crudi-végétal prévient-il l'infection microbienne comme le COVID-19 ? le jeûne guérit-il l'infection microbienne comme le COVID-19 ?
Théoriquement et expérimentalement certainement pourvu que la santé ne soit pas trop compromise, selon le biologiste et naturopathe états-unien Robert Morse entre autres scientifiques . De même le jeûne demeure une thérapie à l'efficacité prouvée à la portée d'une majorité écrasante du public. De surcroît l'intérêt ne s'avère pas seulement individuel mais collectif et environnemental.
Cette pandémie s'avère l'occasion rêvée pour l'évolution globale du régime alimentaire humain vers une diète plus soutenable pour l'environnement en diminuant notablement la cuisson pour économiser l'énergie en améliorant la nutrition d'une part et en diminuant l'apport des aliments animaux d'autre part pour préserver l'environnement, on fait ainsi d'une pierre plusieurs coups.
Selon le scientifique Robert Morse il n'y a pas d'autre solution car c'est ainsi que fonctionne l'organisme d'un primate comme l'homme, son système lymphatique doit demeurer fluide afin d'évacuer l'infection inévitable, ce que l'alimentation crudi-végétale détermine de manière optimale, la biologie se gouverne par la mécanique des fluides.
jeudi 23 juillet 2020
vendredi 17 juillet 2020
Une solution à la crise française: la planification de la sauvegarde de l'environnement
La Chine s'oriente vers ce genre de solution lentement mais surement. On le voit par ses efforts pour combattre la désertification, les crues torrentielles. Elle en a les moyens par son organisation politique et son économie planifiée s'avérant d'une efficacité redoutable.
dimanche 12 juillet 2020
jeudi 2 juillet 2020
L'emballage en plastique photo-dégradable de demain
Les époux Grinvald, installés en Chine depuis Israel ont créé l'emballage en plastique photo-dégradable de demain. Des boites à chaussures dégradées en six mois et disparues sans polluer en 25 mois. A partir de plastique composite à 80 % de poudre de pierre soit du carbonate de calcium et 20 % de plastique haute-densité. Recyclable à 100% et apte à remplacer papier et carton. Une patente protège le procédé de fabrication de la boite à chaussure.
Ils fabriquent aussi des chaussures de mode en matériau de déchets de plastiques, de cuirs des tanneries et de denim.
Les plasturgistes mettent au point des plastiques photo-dégradables et bio-dégradables pour tenter d'enrayer la prolifération des déchets. En France EMMS prévoit 3.5 milions de CA pour ce type d'emballage cette année.
mardi 30 juin 2020
lundi 22 juin 2020
Le complot contre la santé selon Livernette
Un exposé exhaustif du complot des compagnies multinationales de la pharmacie, agro-chimie, agro-alimentaire contre la santé publique.
Dans ce tableau de la dystopie industrielle, le secteur de l'agro-chimie produit les pesticides et engrais chimiques qui stérilisent la terre, les Organismes Génétiquement Modifiés se conçoivent pour l'agriculture chimique, le secteur de l'agro-alimentaire transforme la production agricole au point de la rendre pathogène, la pharmacie prétend réparer leurs dégâts mais aggrave l'état du malade quand elle ne l'achève pas. La grande distribution articule le tout par le truchement du secteur logistique, émanation du secteur mécanique, pour former un ensemble relié individuellement par la télématique.
Ce genre de compagnie commerciale, la multinationale, croit au dépend de l'entreprise individuelle du commerce, industrie et agriculture principalement en éliminant des emplois, investit les bénéfices dans la publicité, le financement politique, jusqu'à faire voter des lois les favorisant, la vaccination présentant l'exemple le plus flagrant d'une supercherie commerciale avalisée par la législation.
Médecins, pharmaciens, chimistes, agriculteurs, cuisiniers, éditeurs, tous pour la plupart complotent contre la santé publique plus ou moins consciemment. Dans ce cas il vaut mieux en abandonner la notion, l'État a mieux à faire que légiférer sur la santé, il ne doit pas s'arroger la responsabilité de la santé du citoyen, celle-ci relève de l'individu adulte à l'évidence, il en va de même des vieillards dépendants dans les EHPAD.
L'impéritie des gouvernements des états confinés les a réduit à la faillite en paralysant l'économie tout en épargnant la fonction publique. Des gouvernements incapables de conduire leur économie mais prétendant enrayer les épidémies.
vendredi 19 juin 2020
Parasitisme médical
Le confinement la population ne fait plus consensus aujourd’hui, y compris au sein de la communauté scientifique.
Venu devant la commission d’enquête avec trois autres membres du conseil scientifique, Delfraissy a laissé l’épidémiologiste à l’institut Pasteur, Arnaud Fontanet, défendre l’utilité de cette mesure. « Nous n’avions pas le choix a appuyé ce dernier, évoquant le nombre de malades anticipé par les modèles qui aurait submergé les services de réanimation. (lemonde.fr);
Ce n'est pas la réalité mais des modèles énigmatiques qui inspirent ce conseil scientifique, de fait il sert à diluer la responsabilité du pouvoir en cas d'échec, pour preuve on en parle beaucoup avec une économie par terre, un taux de victimes des plus élevés et pas de solution en cas de retour ou nouvelle pandémie. Le confinement général se révèle la pire des solutions en comparant les bilans, voyez le Vietnam, non confiné, 97 millions d'âmes, 1000 kilomètres de frontières avec la Chine et zéro morts du Corona.
Que des médecins, certes retraités, en soient réduit à conseiller la destruction de l'économie nationale pour lutter contre la grippe saisonnière, laisse pantois et en dit long sur l'avènement du gouvernement en temps réel, par tweet interposé sur téléphone cellulaire. Médecins par ailleurs pas du tout préparés à assumer des décisions politiques, puisqu'ils vivent grassement de l'assistance sociale financée par prélèvement obligatoire sur le travail, donc non soumis à l'obligation de résultat comme tout un chacun.
Ce conseil soi-disant scientifique a exposé publiquement l'incompétence du corps médical, pas foutu de guérir la moindre grippe. Le confinement revient à brûler tout le territoire pour une invasion de chenille, il s'agit de la décision prise par l'exécutif.
On aurait pu se contenter de confiner les personnes à risques mais on a préféré la détection des porteurs sans avoir suffisamment de tests et sans test tout médecin BAC+9 ne sait plus où il habite. Apparemment comme les médecins ne savent pas reconnaître une personne en mauvaise santé, soit vulnérable à la grippe, on ferme l'économie, ou alors ils pensent qu'il y a trop de personnes en mauvaise santé dans la population vieillissante mais comme on en sait rien, je suspecte l' incompétence médicale.
Autre cas d'incompétence notoire de la corporation , l'interdiction du médicament à base de plante Artemisia Annua, alors qu'elle s'avère le remède le plus efficace contre le paludisme, maladie que la médecine occidentale n'est jamais parvenu à vaincre contrairement à la médecine traditionnelle chinoise depuis des millénaires. Le prétexte d'interdiction tient en l'efficacité insuffisante du médicament à base d'artémisia en comparaison du médicament existant tout en reconnaissant qu'il ne l'est pas à 100 %, l'efficacité du dérivé d'artémisia dépendant de la dose que selon l'agence du médicament on ne peut connaître.
Résultat la France interdit le médicament à base de la plante la plus efficace contre le paludisme.
On pourrait aussi évoquer la décision récente d'obligation de onze vaccins sur les enfants de moins de deux ans alors que leur composition reste secrète et que leurs fabricants demeurent irresponsables pénalement des dégâts éventuels infligés par leur produits. Cela rapproche la règlementation française de celle de E.U.A., passés de trois à onze vaccins obligatoires depuis les années 80 puis à 72 vaccins obligatoires aujourd'hui pour le plus grand bénéfice de la Grande Pharmacie malgré plus de 4 milliard d'indemnités versées aux victimes des vaccins sur plainte devant le tribunal dédié aux dégâts des vaccins.
Un vaccin peut rapporter gros surtout s'il est obligatoire, en effet très facile à produire, à charge du talent commercial d'en tirer le plus de bénéfice: une pincée de divers métaux lourds, de virus, de formaldéhide et le tour est joué. Il s'agit d'injecter un maximum de saletés dans le sang et laisser le système immunitaire se débrouiller. Loin d'immuniser, les vaccins répandent les infections et si le vacciné s'en sort indemne il le doit aux précautions d'hygiène prises, le plus souvent pour ne plus subir pareil traitement à l'avenir.
mardi 16 juin 2020
dimanche 14 juin 2020
Les bavures policières redeviennent tendance
Aujourd'hui la police filme la plupart de ses interventions, tout comme le badaud de passage avide de propager la rumeur. Rien de plus croustillant que l'exécution d'un citoyen par la police sur le vif. Il importe de battre le fer tant qu'il est chaud, ne pas laisser retomber la mayonnaise, il y a des claques et des clicks, du temps de cerveau disponible qui se perdent.
Les gendarmes et les voleurs remplacent les gladiateurs, que le spectacle continue sinon gare au peuple! Il convient de rendre hommage au petit peuple afro-américain qui a tant sacrifié de membres de sa communauté pour la cause des droits civiques.
En retour une délégation de l'ensemble de la communauté nationale décida de sacrifier une sélection de temples de la consommation les plus prisés, joailleries, concessionnaires automobiles et le reste à l'avenant dans les plus beaux quartiers.
La gauche activiste que l'on ne connaissait plus depuis un siècle aux E.U.A. renaît de ses cendres sous l'ère du riche comme Crésus Trump, l'ultime provocation telle la goutte qui fait déborder le vase.
Les militants gauchistes se montrent capables de coordonner le pillage des centres villes au moment propice pendant la durée optimum tout en limitant les représailles grâce à la mobilisation de la classe politique adversaire de Trump en année électorale.
Certaines n'hésitent plus à incendier des véhicules de police au lance-flamme de poche.
Trump fléchit, il pose lui aussi un genou à terre en confinant sous la pression de l'opposition. En trois ans il fut incapable d'ériger le moindre mur du Mexique ni réformer l'immigration comme le réclament ses partisans les plus vindicatifs afin de juguler la croissance organique de l'électorat du Parti Démocrate. Son bilan s'avère désormais négatif, même sur son point que l'on croyait fort, l'économie. Trump ne mobilise plus que l'opposition , c'est dire, il retombe dans l'image de clown de télé-réalité qui l'affligeait déjà avant son élection.
vendredi 12 juin 2020
mercredi 10 juin 2020
Il est urgent de dé-fonctionnariser les partis politiques
Du point de vue économique il serait profitable de sortir de l'assistanat d'État, moyen commode de se rendre populaire auprès de certains électeurs, au lieu de servir des allocations sans contreparties.
La population devrait se remettre au travail, dépenser plus pour une agriculture soutenable donc recourant à davantage de main d'oeuvre locale, de produits domestiques fabriqués sur le territoire national plutôt qu'aux antipodes. Moins de prestations sociales à n'en plus finir, moins d'emplois improductifs dans la fonction publique, dans la bureaucratie.
Priorité au secteur primaire, mis à mal par 50 ans de soi-disant révolution verte qui a rendu les champs toxiques à exploiter à force d'intrants agricoles chimiques plutôt que biologiques.
L'assistanat d'État devient un boulet dont l'économie devrait se délester pour rester à flot en dépit des revendications politiques et syndicales, institutions dont il faut supprimer le financement public de toute urgence. En Allemagne les syndicats s'autofinancent, sans aide de l'État ils restent bien plus influents qu'en France.
Les partis politiques deviennent une annexe de la fonction publique, la rétribution tombe toute seule chaque mois sans besoin de se décarcasser, au bout du parcours l'effet s'avère létal, les partis domestiqués par la fonction publique ne remplissent pas leur rôle moteur.
Le secteur social notamment médical et hospitalier se révèle incapable de parer à la moindre épidémie de grippe anodine comme le COVID-19. Une médecine obsolète et monopolistique transformée en opportunité de carrière financée par les prélèvements obligatoires sur le travail ne remplit pas son rôle de service à la production.
Les hôpitaux se transforment en établissements d'hôtellerie infestés de maladies nosocomiales, réduisant leur utilité publique à néant.
Cette médecine au service des médecins et de l'industrie devrait se libérer du carcan de monopole d'État pour retrouver un minimum de crédibilité, elle aussi devrait faire ses preuves chaque jour, ni plus ni moins que les médecines dites alternatives comme la naturopathie. L'urgence pour que les partis politiques retrouvent leur crédibilité de même que les syndicats consiste à les dé-fonctionnariser, soit les sortir du financement public, qu'au moins ils répondent à des tiers de leur utilité.
REM en représentait le meilleur exemple: il prend le pouvoir, soulève l'intérêt, puis retombe dans la léthargie, l'indifférence générale, la routine et l'improductivité, happé par la subvention publique et la bureaucratie.
Les partis auto-financés s'avèrent invariablement les plus dynamiques, y compris le Front National des années 80 et 90, aujourd'hui l'UPR de François Asselineau sans conteste, les autres partis mangent la soupe de la subvention, stagnent, dépérissent pour sombrer dans l'oubli comme le PS, le PC, les groupuscules gauchistes, les Républicains.
Invariablement, sans exception, il convient de choisir entre le harnais des subventions publiques et la liberté de manoeuvre qu'apporte la quête inlassable d'autofinancement privé.
Lancement spatial privé ou public, quelle différence ?
Le caractère distinctif du lancement ne réside pas vraiment dans le sceau commercial apposé sur la fusée, la NASA ayant toujours collaboré avec des sociétés commerciales pour réaliser ses projets en se comportant comme le maître d'ouvrage veillant sur les réalisations des maîtres d'œuvres externalisés, mais dans la réusabilité affichée de la fusée qui reste à prouver soit dit en passant. En effet l'atterrissage contrôlé du premier étage n'implique pas qu'il devienne réutilisable.
Avec la navette spatiale, la fusée ne se réutilisant pas, les étages plongeaient dans l'océan, la NASA se chargeant de les récupérer. Aujourd'hui la capsule habitée ne se réutilise pas, il reste toujours une partie de la fusée à récupérer dans l'océan.
Pour l'instant les revenus de l'entreprise proviennent intégralement des commandes de l'État des E.U.A. , dans le cadre du financement de la station spatiale en association avec d'autres états souverains notamment la Russie. On se trouve encore très loin de l'entreprise de tourisme spatial tant vantée aux investisseurs potentiels, là où les commandes de l'État se font plus rares.